Pauvre pêcheur...
Datte: 07/08/2019,
Catégories:
hh,
hagé,
inconnu,
grossexe,
bateau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
hdanus,
hsodo,
init,
confession,
Auteur: Kristal, Source: Revebebe
... Une excitation inconnue s’empare de moi. J’ai parfois été à la limite de tendre la main vers certains sexes dont Kris se régalait, pour tenter de découvrir les sensations qu’elle pouvait éprouver en branlant ou suçant un homme. Là, c’est pire : j’ai envie de poser mes mains sur Henri, de caresser ce mandrin stupéfiant, de lui offrir mes lèvres, de découvrir sa saveur, sa chaleur…
Mon passager n’est pas dupe. C’est lui qui rompt le silence, d’une voix rauque tout en accélérant sa masturbation :
— Alain… Ta main à la place de la mienne le ravirait, et je suis sûr que tu en meurs d’envie. Alors approche, touche-le. Tu verras comme il est dur, chaud, et prêt à toutes les folies.
— Non ; arrêtons là les conneries. Je te connais à peine et te voilà en train de me proposer de te branler… Ce n’est pas mon genre, et je n’en ai aucune envie !
— Menteur ! Tu bandes à mort et tu veux me faire croire que c’est par hasard ? Moi, je bande pour toi ; alors profites-en pendant que nous sommes isolés. Pas de témoins, et nous ne nous reverrons certainement plus.
À mon âge, je tremble comme un gamin ! Et pourtant je tends la main vers Henri. Je frôle la sienne qu’il s’empresse de retirer de son sexe. C’est la mienne qui vient se poser sur le monstrueux pal. C’est tiède, doux, ferme. Mes doigts découvrent, apprécient, et se livrent à une lente caresse le long de la tige frémissante. Ce simple contact m’électrise ; brutalement, je perds tous mes repères. Mes doigts s’enroulent autour ...
... de cette colonne de chair inconnue. Je branle un autre homme ! Et j’y éprouve un plaisir indécent, délicieusement pervers. J’admire, ébahi, le gland que je découvre par à-coups : il est lisse, luisant, surmonté d’une petite perle de plaisir qui suinte au bord du cratère comme les prémices d’une formidable éruption de lave bouillonnante. Henri gémit doucement, savourant ma caresse.
— Humm… c’est bon ! Tu vois, tu sens comme je suis dur, gros ? Tu me fais bander comme un dingue ! Oui, tu aimes ça, hein ? Continue, c’est trop bon. Vas-y, plus fort ; décalotte-moi bien à fond. Tu sais ce que j’aimerais maintenant ? Que tu me suces, que tu me dévores jusqu’à la jouissance… Je suis persuadé que, même si tu n’y as jamais goûté, tu en as très envie et que tu vas aimer.
— Tu es complètement fou !
— Oui, c’est vrai… Mais toi aussi car je sais que tu vas te laisser tenter ; tu en as trop envie…
Je dois reconnaître qu’il n’a pas tort… Subjugué par cette situation totalement inédite, je me sens prêt à outrepasser tous mes principes pour plonger dans une relation hors norme. Nos regards se croisent. J’y découvre la même lueur d’extase que celle qu’il m’est déjà arrivé de surprendre dans les yeux des amants de Kris lorsqu’elle leur fait l’offrande de sa bouche, lorsque ses lèvres s’ourlent langoureusement autour d’une belle queue et qu’elle les pompe lentement.
Dans ma tête, ce n’est pas moi qui incline le visage ; ce ne sont pas mes lèvres mais les siennes qui frôlent l’énorme ...