L'ascenseur
Datte: 07/08/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
fépilée,
ascenseur,
ffontaine,
Oral
fdanus,
Auteur: Cixi, Source: Revebebe
... téléphone… Je ne l’écoute pas.
Mon sexe me fait mal tant il est tendu et serré dans mon jean.
Va-t-elle cesser cet appel ?
Part 9 (moi) :
Mon interlocutrice a raccroché, mais je continue à faire semblant de répondre par quelques onomatopées, mais le bougre est reparti à l’assaut de mes jambes, il me cherche et provoque en moi une douce torture.
J’écarte les cuisses malgré moi, mon pied glisse au sol et se retrouve entre ses jambes à lui. Le cou de mon pied vient en miroir de ses mains sur moi à l’intérieur de ses cuisses, mes orteils s’arrêtent et s’agitent à hauteur de son sexe.
Je me concentre car mes sens m’égarent ailleurs.
Je me concentre car je sens son souffle chaud contre mon pubis.
Je me concentre sur la voûte de mon pied pour percevoir la chaleur qui émane de son entrejambe.
Je glisse mon pied sous le pont que forment ses cuisses, mon cou de pied vient se poser franchement contre ses bourses tendues, l’arête de mon pied se cale dans son sillon fessier.
Il s’est suspendu quelques secondes, il semble lui aussi en train de se concentrer pour ne pas se laisser dépasser par ses sensations.
Je commence à le caresser, mon pied fait des allers et venues le long de ses fesses et sur son sexe érigé, que dis-je comprimé, gonflé, congestionné ! Je le sens palpitant, frémissant, tremblant et c’est délicieux…
Ses caresses ne me laissent franchement pas insensible, surtout que ce premier orgasme m’a laissée à fleur de peau. Je refrène mon ...
... bassin pour qu’il n’ondule pas à la cherche de sa langue habile et il y a déjà un bon moment que je n’ai plus fait l’effort de ma fausse conversation.
Mon pied revient se caler contre son sexe qui se dresse par l’entrebâillement de sa braguette, je distingue un renflement rose dépassant de son shorty. Mes orteils peints glissent, frôlent, filent avec légèreté le long de son dard.
Une savoureuse musique parvient à mes oreilles : il soupire…
Je retire mon pied de son entrejambe et je me soustrais à ses caresses en descendant m’asseoir à califourchon sur le haut de ses cuisses. Ma fente humide effleure son doux gland, je plaque ma poitrine contre son torse, emplit sa bouche de ma langue, et pose le combiné de mon téléphone éteint contre son oreille…
Part 10 (lui) :
Hum… La serrer nue contre moi…
Ses seins s’écrasent contre ma poitrine… Délicieux goût de sa langue… Mes mains courent sur son dos, descendent sur ses fesses, longent le sillon… Je retrouve son trou secret encore entrouvert de ma pénétration du doigt tout à l’heure… Sentir aux creux des mains la douceur de sa peau, ses courbes…
Et surtout je sens l’humidité de son sexe contre mon gland… Le coquin, il n’en pouvait plus ! Il a sorti la tête pour voir ce qui se passait, pourquoi on le faisait tant attendre…
C’est qu’elle me provoquait la bougresse !Son téléphone éteint qu’elle me colle à l’oreille !Depuis combien de temps fait-elle semblant de téléphoner ?
Je ne suis pas très à l’aise, accroupi avec ...