L'ascenseur
Datte: 07/08/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
fépilée,
ascenseur,
ffontaine,
Oral
fdanus,
Auteur: Cixi, Source: Revebebe
... elle sur les genoux… Je la fais s’asseoir sur le canapé, me redresse et enlève d’un coup jean’s et shorty… Enfin nu ! Enfin libre de toute entrave ! Mon sexe palpite contre mon ventre à hauteur de ses yeux.
Elle semble hypnotisée, approche ses mains, le saisit à deux mains. Oh ! Douce pression de ses doigts fins ! Une main descend en coupelle sous mes bourses, l’autre commence à monter et descendre… Elle décalotte complètement mon gland, tire sur la peau. Il est luisant des premières gouttes de sperme. Elle approche la bouche, langue tendue pour le lécher.
Mais je ne veux pas jouir ainsi ! Je veux me lâcher en elle !
Je la bouscule et la fais s’allonger sur le canapé. Je lui couvre le corps du mien. Seins contre seins, bouche contre bouche, jambes emmêlées, sexe contre hanche.
— Pénètre-moi…
— Attends encore un peu…
Je veux faire durer le plaisir encore un peu. Goûter ce corps au maximum. Je me soulève sur un coude pour pouvoir saisir de l’autre main ses magnifiques seins qui m’obsèdent depuis qu’elle est rentrée dans cet ascenseur…
Son sexe inonde le haut de ma cuisse. Ses mains courent sur mon dos, mes fesses… les écartent. Elle me pénètre d’un doigt… Hum !
Je me laisse glisser vers le bas. La pointe de mon vit glisse le long de la fente ouverte, chaude et humide et pénètre dans cette magnifique Porte du Paradis ! D’un coup de rein, je la pénètre tout entier. Je glisse mes bras sous elle et la serre fort contre moi. Elle-même m’enferme dans ses bras, ...
... dans ses jambes remontées autour de mon bassin. Je voudrais entrer tout entier en elle, ne faire plus qu’un…Je sens le plaisir monter. Il a tant attendu…
Ne plus bouger… Se crisper… retenir encore… Je suis si bien…
Part 11 (moi) :
Il ne bouge plus, tendu à l’extrême tout au fond de moi.
Je ne bouge plus non plus, le corps relâché, gorgé de lui, mes muscles utérins me transmettent sa contention, la retenue qu’il s’inflige pour profiter encore de ce moment…
La pression sanguine de sa queue bat contre mes muqueuses détrempées. Cette sensation, à la fois intense et infiniment douce, me fait décoller, je m’abandonne à jouir sans violence dans un orgasme long et graduel à l’inverse du premier fulgurant et fugace.
À l’apogée de cette montée, je ne retiens plus rien. Mon sexe ruisselle de sa fontaine et la décharge hormonale qui m’a envahie s’empare de ce qui reste de moi.
Mes mains viennent soudainement et durement s’accrocher à ses fesses pour qu’il me pénètre encore plus, mon bassin de la même façon se plaque contre son pubis et entame des va-et-vient frénétiques.
Il râle, souffre et, enfin, dans le dernier coup de rein qu’il offre, m’assène, il se libère dans mon corps de toute sa jouissance retenue, ma gorge se libère également d’un cri de plaisir…
Nos respirations finissent par s’apaiser, nos corps moites encore collés l’un à l’autre reprennent conscience de l’environnement qui nous a abrités et du temps qui semble doucement reprendre son cours…
— ...