1. L'ascenseur


    Datte: 07/08/2019, Catégories: fh, inconnu, fépilée, ascenseur, ffontaine, Oral fdanus, Auteur: Cixi, Source: Revebebe

    ... je pris le temps d’apprécier sa carrure, ses épaules et pectoraux avant de saisir le bas de sa chemise et lui faire passer par-dessus tête.
    
    Je me demandais à quelle sauce j’allais le manger. Est-ce que j’allais le manger d’ailleurs ? Ou bien allais-je me remplir de lui, l’inviter à se glisser en moi ?
    
    On m’a dit un jour que la liberté commence quand on a trois choix, et je n’en avais trouvé que deux. Je n’arrivais pas à me décider… Mon troisième choix était là, je le faisais languir !
    
    Oserais-je ? Oserais-je le faire languir, l’allumer jusqu’à ce qu’il me demande de le toucher enfin ?
    
    Les yeux et les mains perdus à découvrir sa peau, je l’invite à se redresser pour le libérer de son carcan textile.
    
    Il se retrouve donc debout devant moi, le renflement de sa braguette à hauteur de mon visage.
    
    Malgré moi, mes lèvres s’entrouvrent, mes mains se posent sur l’extérieur de ses cuisses et remontent vers ses hanches, puis vers sa boucle de ceinture que j’entreprends de défaire lentement.
    
    Mon téléphone sonne.
    
    Jubilation !
    
    Puis panique !
    
    Merde, j’avais oublié le bouloooot !
    
    Une seconde fois, je le plante là et je me jette sur mon sac à main posé au pied du canapé.
    
    Je décroche.
    
    — Oui ? Oui, je suis désolée, j’ai eu un petit accident sur le chemin.
    
    Nonchalamment, je m’allonge sur le dos dans le canapé, en continuant ma conversation.
    
    — Non, non, rien de grave, je me suis foulé la cheville.
    
    Je le fixe, en commençant à laisser mes doigts ...
    ... frôler mes seins.
    
    — Un type m’a raccompagnée chez moi…
    
    Part 8 (lui) :
    
    Oh la cruelle ! Elle a eu un petit sourire quand son téléphone a sonné. Elle veut me faire languir ! Pourtant, ça avait bien commencé ! Ses mains légères sur mon torse, mes épaules qu’elle a dénudées, et qui glissent vers mes hanches, commencent à ouvrir mon ceinturon… Dois-je finir le travail ? Me mettre nu, seul ? Non. Rentrons dans son jeu…
    
    Quelle provocation ! Allongée ainsi sur le canapé… Et voilà qu’elle commence à se caresser les seins tout en parlant. C’est qui ? Une collègue ? Son patron ?
    
    Je regarde sa cheville qui semble aller mieux… Doucement, en la fixant dans les yeux, je commence à la masser… Et puis je monte le long de la jambe, ma bouche suit. J’embrasse, je lèche… jusqu’à l’aine, mon nez tout contre son pubis… Elle sent la jouissance que je lui ai procurée… Je l’embrasse là ? Je la masturbe pendant qu’elle parle au téléphone ?.. Ses silences deviennent de plus en plus longs. Elle parle de plus en plus haché… Non…
    
    Je reviens vers l’autre cheville, recommence la montée, lente, douce… jusqu’à l’aine… Elle écarte doucement les cuisses… comme une invitation.
    
    Ma chère amie, tu veux me faire languir, je peux aussi te torturer d’attente du plaisir…
    
    Mes mains, ma bouche glissent sur sa hanche, évitant cette zone si sensible. Puis je passe sur le nombril, l’autre hanche,.la cuisse, le genou, le tibia, la cheville, l’autre cheville… Et je remonte…
    
    Elle parle toujours au ...
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