Tenue de Gala - Histoires de Sexe

Tenue de Gala

... grand, le sublime jeu qui me met la tête en bas et le cœur explosé. Grandiose. Quoique. Quoiquequoique. Il y a quelque chose qui me chiffonne. Une intrigue sans solution. Je fais l’amour comme un fou, on remet ca deux fois, une de plus que la première fois. Elle me fait des compliments et me dit que c’était encore meilleur. Je n’en peux plus, mais j’ai cette sensation bizarre d’être pour la première fois avec une femme qui me comprend vraiment, qui m’aime vraiment, qui n’est pas à la recherche de sécurité ou de valeurs matérielles, ou de statut que je n’ai pas, oui, c’est un moment magique.
Le lendemain, on avait prévu de passer la journée ensemble et de faire du shopping. J’ai pas de sous, mais on essaie quand même. Elle s’habille comme la veille. Bon, c’est pas adapté pour le shopping, mais ca m’excite grave, encore plus qu’en soirée. Il y a tout de même un truc. Je trouve que sa robe se soulève beaucoup avec sa culotte. On va au forum des halles, et je pose la main sur son derrière, et là, révélation : C’est pas naturel. Il y a quelque chose. Ca me perturbe énormément, je sais que ce n’est pas normal, je ne veux pas la mettre mal à l’aise, j’ose pas lui parler. Elle me regarde, me fait un immense sourire et me tire la main en m’entraînant. On arrive à la pharmacie, et elle demande, exactement comme je demanderais une baguette : « un paquet de tainaslipmaxy entaillesse, s’il vous plaît ». La pharmacienne, rapide comme un bon chiffre d’affaires s’exécute en apportant une ...

... espèce de gros paquet avec marqué dessus « Tena Slip Maxi S ». Elle paie et nous voilà partis, moi silencieux comme une carpe, et elle comme si de rien n’était. 
On a trimbalé ce paquet toute la journée. Le soir, on a dîné chez moi, et elle s’est levée en me disant, « j’en ai pour 5 minutes » qu’elle a passées dans la salle de bains avec le paquet. Elle est ressortie, et là, comme si elle avait voulu que je le remarque, j’ai bien vu le gros volume dans sa culotte, qui remontait les volants de sa robe. Bon, elle porte des couches culottes, est-ce que ca me dérange ? Non ! Après tout, chacun sa vie, et en quoi ca peut me gêner ? J’essaie de faire le sourire de celui qui comprend mais ne veut pas le montrer, et je sens qu’elle trouve ca mignon. Elle m’embrasse et me demande si ce soir elle reste. Waou !. Il n’est que huit heures, mais je suis très très très demandeur. On se couche je la pelote, la déshabille, j’admire son corps jeune, sec et musclé, ses formes comment dire ? ses formes…
Je lui enlève sa couche, et je dois dire que je le fais comme si je l’avais fait toute ma vie. Fastoche. Je m’allonge contre elle, et là… là…, je sens, comment dire, quelque chose, un truc. Elle bande ! Putain c’est un mec ! Un mec ! Là c’est allé trop loin pour que je garde mon libre arbitre. De toute façon, elle avait tout prévu. Elle m’attrape la tête et m’embrasse comme une folle, et moi, et ben, je bande pas moins. Je bande bien dur, à me demander si je ne le savais pas depuis le début.  ...