Tenue de Gala - Histoires de Sexe

Tenue de Gala

... moi. Il devait être quatre heures du mat. Elle a fait ce qu’il faut, dont plusieurs choses qu’une jeune fille ne devrait ni connaître ni imaginer, à me donner le vertige : qu’est-ce donc que cet animal extra-terrestre que j’ai amené chez moi ? Le cerveau en roue libre, j’ai cru profiter de la situation, et à la faveur de mon jeune âge, j’y suis revenu une deuxième fois avant le lever du soleil. Un coup du tonnerre. Oui, plus que jamais, c’est elle. Je vivais une sorte de soulagement magique, comme si quelqu’un m’avait enlevé la chape de plomb qui figeait mes pulsions sexuelles depuis toujours. J’étais clairement amoureux.
Elle avait moins bu que moi, et le matin, elle est arrivée à s’éclipser dans la musique de mes ronflements. J’ai eu en me réveillant une frayeur : Et si c’était l’alcool qui l’avait rendue belle ? Pire, je savais qu’elle était belle, et le vertige c’était surtout de me dire que je ne savais pas où la retrouver. 
Heureusement, elle avait laissé un petit mot sur la table, avec, ô miracle son téléphone. « Je dois filer, appelle-moi demain. Bisou ». Et en plus, elle voulait me revoir ! C’est ca le paradis. J’y suis, j’y reste.
Le lendemain, c'est-à-dire après avoir passé 20 heures avec la main sur le téléphone, je l’ai appelée. Hum, je ne savais même pas son nom. Elle connaissait le mien. J’ai du ruser, pour faire croire que je le savais, et je lui ai demandé qu’on dîne ensemble. Ce qu’on a fait, et qui m’a permis de la découvrir, rien d’autre qu’une bombe ...

... aux petites fesses aussi fermes que ses seins, aux jambes fuselées et parfaites, à la peau mate et bronzée, au visage harmonieux mais pétri de la vivacité de traits aigus. Un canon, comme je n’en n’avais jamais approché, et habillée d’extravagance à faire défaillir le pape. Mais elle a du rentrer chez elle, et rien ne s’est passé.
Et pendant un mois, elle est rentrée chez elle à chaque fois. J’en devenais fou. Je voulais me réserver pour elle, mais ca débordait ! Ca n’est pas tenable, à l’aide, au secours. En plus, à chaque fois, elle venait habillée d’une manière incroyable, ce qui m’a fait vivre un vrai défilé où le cuir se mêlait aux sangles, le noir brillant au rose vif, avec une recherche incroyable. A la fin du mois, il y avait un gala de grande école. Sous l’emprise de mes souvenirs, je lui ai proposé de venir et elle a dit oui. Je m’attendais à des remarques, du style, « d’accord mais ne bois pas trop », mais non, rien. D’ailleurs je n’avais pas besoin de remarques, car tout naturellement, j’ai beaucoup moins bu, et je dirais que c’est même plutôt elle qui me remplissait mon verre, alors qu’elle-même buvait très peu. Elle portait une robe courte super sexy, rouge, en forme de salopette, et dont les bretelles tranchaient sur un chemisier blanc à manches courtes, bien sage mais ajusté avec ses épaules bouffantes. Plusieurs fois j’ai bien pensé voir une culotte à froufrous là-dessous ! 
Fin de soirée. Je suis quand même bien allumé, on se rentre et là, de nouveau, le ...