Bac en poche, direction... Paris! - Histoires de Sexe

Bac en poche, direction... Paris!

... se mit à m'astiquer tout en continuant à me limer. Cette fois-ci c'était trop. Je perdais tous mes repères, j'avais l'impression que j'étais pénétré jusqu'à la moelle, jusque dans mon cervelet, je fus pris de vertige, je me lâchai tout en serrant l'anus dans des spasmes incontrôlés. Elle s'enfonçait encore plus, c'était comme si elle-même jouissait aussi.

Je m'écroulai avec elle, le gode toujours enfoncé dans mon anus. Elle me faisait des bisous. Ça doit être ça l'amour, pensé-je tout haut. Elle me dit:

- Tu m'aimes
- Je crois que oui
- J'ai une surprise pour toi
- Encore! tout ce que tu veux

Petit à petit, elle avait assis sa domination sur moi. Elle me nourrissait, me logeait, souvent elle me donnait de l'argent, elle m'habillait, et elle me comblait y compris maintenant au sens propre du terme. Il y a longtemps que je ne lui résistais plus, je lui appartenais, et j'aimais ça, elle était si attentionnée, si gentille

Elle me prit la main et la guida entre elle et moi, vers mon derrière, pour que j'attrape le gode. Il était gluant et avait une consistance réaliste. Elle se retira doucement et murmura:

- tiens le bien et... regarde...

Et là, j'eus un choc. Ce que j'avais cru être un gode était une belle, une vraie bite d'homme, bien attachée. Elle était un homme. Elle était un homme, et elle venait de me baiser et j'avais aimé ça. Tout à coup, je me voyais homo. Quel choc. Entre ce qui venait de se passer, l'alcool, mes réflexions philosophiques, j'étais ...

... perdu, j'avais le vertige.

- Nooon! 
- Alors...
- Tu m'as trompé! 
- Tu en es sûr?
- Tu n'es pas une femme!!!
- Une femme, un homme... est-ce que c'est important? 
- Comment as-tu pu me faire ça?
- Te faire quoi? Te sodomiser? Mais t'as eu l'air d'apprécier tout de même
- Non, oui, enfin, je veux dire, tu m'as trompé!!!
- Comment ça trompé? Je n'ai fait que ce que tu voulais 
- Tu t'es fait passer pour une femme
- Ah bon? et quand ça?
- Ben... tes habits... tes seins... t'es ma cousine?
- Je m'habille comme je veux, et je t'ai jamais dit que j'étais ta cousine, même si je le suis autant que ta tante
- que... mais ma mère... tu es... nooon!
- Et bien, tu ne sais plus ce que tu aimes?
- Euh... non

Je me mis la tête dans un oreiller et versai une larme d'incompréhension. Une partie du monde que je connaissais s'écroulait, je me sentais perdu, vide, en proie à une angoisse terrible. Quelque chose d'inconnu prenait toute la place.
Elle attendit que mes sanglots s'arrêtent. Elle m'enserra le cou d'une main et passa l'autre sous mon ventre.

- Tu es en train d'accéder à la conscience, tu deviens un être responsable. Remets-toi à quatre pattes
- Qu'est-ce que...
- Allez, plus vite!

Dompté par cinq mois à ses côtés, même si je réalisais soudain que je ne la connaissais pas du tout, j'obéis. J'en voulais encore. En à peine quelques minutes, elle avait rechargé ses batteries et elle remettait ça. Cette fois ce fut très différent: je prenais conscience de ma ...