Bac en poche, direction... Paris! - Histoires de Sexe

Bac en poche, direction... Paris!

... va?
- C'est ma taille
- Tu l'as, là?
- Oui.
- Çà te fait de l'effet?
- Ça se voit, non?
- Approche... tourne-toi

Elle était dans le fauteuil, et moi debout. Elle décala l'entrejambe de mon body et regarda. Elle fit tourner cet objet, le fit légèrement monter et descendre, je le sentais bouger. Ça m'excitait encore plus, mais heureusement ce truc m'empêchait de jouir.

- Parfait! Vas enfiler une salopette. La noire, laquée. On sort!

Je ne discutai pas. Cinq minutes plus tard, j'avais enfilé un body propre et la salopette.

- Tu l'as gardé?
- Le bijou? Oui

Oui, après tout, c'était une sorte de bijou. Pas sûr que j'aurais préféré une montre. Elle m'emmena dans un super resto. On a pris un apéro, une bouteille de vin - j'ai l'impression que c'est moi qui ait tout bu, et après on est allé dans un bar. J'ai pris deux mojitos. Quand on est rentré, j'étais bien fait, mais pas mort. 

Je rentrai le premier, elle était derrière moi quand elle me prit par la taille et se plaqua contre moi. J'étais comme pétrifié, je n'osai pas bouger. C'est surtout parce que j'attendais la suite. Elle avait les manettes. Elle m'avait déjà bien surpris plusieurs fois, et surtout ce soir avec ce truc dans mon cul. Là, je sentais sa chaleur qui appuyait contre mes fesses, mon dos, mon cou. Je sentais sa respiration au-dessus de ma tête.

- C'est ce soir...

je répondis naïvement

- C'est quoi ce soir?...
- C'est ce soir... viens

Je la suivis dans sa chambre. Je n'avais ...

... jamais eu le droit d'y aller. C'était ultra moderne. Elle me poussa sur le lit. Un lit immense et très ferme. Je tombai à plat ventre. Elle s'acharna sur ma salopette pour me l'enlever. Je me laissai faire. Elle ouvrit un tiroir et sortit une sorte de ceinture avec un pénis en plastique, et se l'attacha autour de la taille en quelques secondes. Elle se mit au bout du lit et me releva les fesses. Elle arracha les boutons pression de mon body, enleva ce bijou qui m'encombrait et m'excitait depuis l'après-midi et s'arrêta net. J'avais le visage dans les oreillers.

- tu comprends pourquoi je t'ai offert ce bijou, c'est pour t'habituer et te détendre. Il faut que tu sois détendu si tu veux prendre du plaisir. Tu t'es déjà fait violer?
- euh... non
- et là, tu es en train de te faire violer?
- euh... non
- et si je m'occupe de toi maintenant, de toi, et de ton petit trou, ça te déplairait?
- euh... non
- tu n'es pas tendu, je ne te force pas?
- euh... non 
- et tu sais dire autre chose que "euh... non"?

en finissant sa phrase, elle avait entré ce gode dans mon anus et elle tirait sur mes hanches pour l'enfoncer. Je bandais à mort, mais je sentais que je ne pouvais toujours pas jouir. Avec l'alcool, mes pensées s'entrechoquaient. Je me demandais si j'étais homo, sans avoir de réponse satisfaisante, mais surtout je prenais mon pied. Une nana super canon était en train de faire mon éducation sexuelle en commençant par la fin.
Après quelques minutes, elle saisit ma verge et ...