1. A moitié nue devant mon oncle et son ami à cause de ma mère


    Datte: 01/03/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Vos histoires Auteur: Chantal C., Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... vis-à-vis de moi s'est à nouveau levée d'un bond et m'a envoyé une autre gifle. J'ai hurlé. Elle aussi avec ces mots : "Lève les bras tout de suite ou je t'en colle encore une !"
    
    J'ai failli m'effondrer et tremblante, j'ai levé les bras au-dessus de ma tête, mes pleurs ont redoublé. Mon soutien-gorge est remonté avec ce mouvement, ma poitrine est alors sortie des bonnets et s'est balancée parce que je pleurais avec des hoquets. Mon soutien-gorge étant remonté sous mon menton. Entre mes larmes, je voyais l'air ébahi de mon oncle qui à ce moment s'est complètement lâché avec ces mots : 
    
    — Sacrée paire de nibards, ma nièce !
    
    L'autre s'est aussitôt précipité pour venir se rincer l'œil au premier plan et j'ai même cru qu'il allait me toucher les seins. J'étais mortifiée, anéantie.
    
    Mais le comble c'est qu'à ce moment, nos voisins Richard et Solange ont fait irruption dans le séjour. Alertés par mes cris et mes pleurs. Ils étaient entrés précipitamment sans frapper, croyant à quelque chose de grave. Mais oui c'était grave sauf que ce voisin Richard a ouvert de grands yeux en me découvrant debout, le soutien-gorge relevé sur la poitrine et en culotte et collants. Sa femme sans comprendre vraiment la situation lui a tout de suite dit : 
    
    — Richard, repars, tu n'as pas à voir ça !
    
    Elle dut lui répéter deux fois de repartir tellement il était subjugué et il est reparti à reculons. J'étais plus que mal à l'aise, car j'avais remarqué que ce voisin regardait souvent de ...
    ... chez lui la fenêtre de ma chambre. Et bien là il était servi !
    Alors Solange sur un ton ferme, je me souviens a demandé à ma mère des explications.
    
    Mais tout cela était allé très vite et en pleurs de honte et de rage je me mis à invectiver ma mère devant les deux hommes qui se mirent à rire. C'était un cauchemar alors que je les voyais se délecter de me voir à moitié nue et déshabillée. Je me suis alors enfuie, sans remettre mon soutien-gorge, en collants et les seins à l'air. J'ai quitté la pièce pour me réfugier dans ma chambre où je crois j'ai commencé à préparer mes affaires pour quitter cette maison. Mais au rez-de-chaussée, j'entendis une violente dispute entre ma mère et son frère, mais aussi la voisine qui s'en prenait à ma mère. Visiblement elle s'était rendu compte du stratagème manigancé par son frère et son pervers d'ami. Il me semble qu'elle a même dit à ce Francis qu'il n'était certainement pas kiné. 
    
    Le soir même, je quittais la maison sans vouloir parler à mère malgré ses excuses. Cette scène m'a traumatisée sur le moment, mais en même temps j'ai commencé à éprouver un plaisir insidieux à me sentir ainsi désirée à moitié déshabillée et combien mes larmes et le fait d'être contrainte avaient décuplé le désir de ces deux vicieux. Ce souvenir allait accompagner bien des moments intimes d'auto-érotisme. Aussi quand j'ai rencontré mon mari lui ai-je soumis mon fantasme d'être obligée contre mon gré à me dévêtir devant témoins. Je dois dire qu'il y a vite pris ...