1. A moitié nue devant mon oncle et son ami à cause de ma mère


    Datte: 01/03/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Vos histoires Auteur: Chantal C., Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... affront.
    
    — Pouvez-vous demander à votre fille de baisser un peu son jupon, je suis gêné pour voir le bas de sa colonne.
    
    Ce Francis s'était adressé à ma mère et pas à moi. Je suis restée figée et me souviens avoir fait non de la tête à ma mère qui s'énervait de nouveau face à ma réaction. Je l'ai vu se lever et se planter devant moi en disant quelque chose comme :" Tu n'as pas entendu ou quoi !". Et brusquement elle a attrapé l'élastique de mon jupon et l'a descendu sur mes pieds. 
    
    
    J'ai éclaté en sanglots, en criant : "Pas ça, maman !", me retrouvant en collants et culotte. L'ami de mon oncle comme surpris par la réaction de ma mère et oubliant de jouer la petite comédie qui était la sienne est venu aussitôt devant moi pour me mater sans vergogne. En larmes, je plaçais mes mains devant le haut de mes collants comme pour dissimuler ma culotte blanche assortie au soutien-gorge dont la maille du collant très fine ne dissimulait en rien au regard des deux hommes ses jolis motifs incrustés de dentelles. 
    
    Les larmes coulaient sur mes joues et je regardais ma mère, implorant qu'elle interrompe cette mascarade, morte de honte d'être ainsi exposée en pleine lumière en sous-vêtements. Pourtant ma mère n'a pas eu d'autres mots que de dire "tu es ridicule de te mettre dans de tels états !". 
    
    Puis tout de même, elle s'exclama envers l'ami de mon oncle planté devant moi : "Et vous qu'est-ce que vous faites au lieu d'examiner le dos de Chantal ? ". Ce Francis retourna ...
    ... vite derrière moi et eut alors à peu près ces mots : 
    
    — Je vois quel est le souci, mais pour en être certain il faudrait que mademoiselle dégrafe juste son soutien-gorge pour que je puisse bien suivre la ligne de la colonne !
    
    Je n'en revenais pas et n'ai pu que m'esclaffer "Maman, ce n'est pas possible". L'ami mon oncle a renchéri :" Non, juste dégrafer derrière que je puisse voir la continuité de la ligne".
    Ma mère a dit quelque chose comme "qu'est-ce que tu attends ?". Mais je ne pouvais pas bouger sans comprendre qu'une mère puisse ainsi piétiner la pudeur de sa fille de 19 ans. Je me suis même demandé si ce Francis n'avait pas frôlé mes fesses avec sa main derrière mon collant. 
    
    — Dégrafez-lui puisqu'elle continue à faire sa mauvaise tête !
    
    Je n'en revenais pas que ma mère se prête ainsi à suivre ce soi-disant kiné et j'ai senti les doigts de cet homme défaire lentement les deux attaches de son soutien-gorge. J'ai immédiatement posé les deux mains sur les bonnets pour les maintenir sur ma poitrine tandis qu'il passait son doigt de haut en bas sur ma colonne et là ce fut le pire puisqu'il demanda : 
    
    — Pouvez-vous mademoiselle vous redresser en levant bien haut les deux bras.
    
    Évidemment c'était calculé. Mais là je me suis retournée vers ma mère, quasi suppliante, et entre deux sanglots :
    
    — Maman, tu ne vois donc rien à leur manège, si je lève les bras, tu sais ce qui va se passer avec mon soutien-gorge.
    
    Mais ma mère comme aveuglée par son énervement ...