1. A moitié nue devant mon oncle et son ami à cause de ma mère


    Datte: 01/03/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Vos histoires Auteur: Chantal C., Source: Histoires-de-Sexe.club

    Je vais vous raconter pourquoi à l'âge de 19 ans, je me suis fâchée avec ma mère et son frère pour aller vivre chez mon père. Un évènement qui m'a longtemps traumatisée et qui aujourd'hui conduirait certainement cet oncle et un ami à lui devant un tribunal. 
    
    
    Autant que je me souvienne, c'était un après-midi de novembre. Nous devions être en 1972 ou 73. Je suis rentrée plus tôt que prévu de la fac, j'étais toujours en première année de droit ; j’ai trouvé ma mère en compagnie de son frère et un ami à lui que je ne connaissais pas. Cet oncle vivait à l'étranger et je ne l'avais pas vu depuis deux ans. J'ai toute de suite senti son regard en rentrant dans le salon. Ma mère m'a invitée à quitter mon manteau et mes affaires pour les rejoindre. Ils étaient de passage et venaient prendre un café. Je me suis assise en face d'eux sur le deuxième canapé et j'ai décliné une tasse de café, je crois avoir juste pris un des biscuits que ma mère avait préparé. 
    
    
    Tout de suite j'ai remarqué les coups d'œil persistants de cet ami sur mes jambes. Je portais une robe cintrée un peu au-dessus des genoux, mais dans ce canapé, assise, elle remontait sur mes cuisses. Je portais des collants beige foncé et j'ai commencé à tirer nerveusement sur le bas de ma robe pour l'empêcher de trop remonter, en particulier jusqu'à la démarcation des collants. Je me souviens que ces gestes avaient également attiré le regard de mon oncle qui d'ailleurs avait insisté sur le fait que j'avais bien changé ...
    ... pour devenir "presque une femme". J'étais embarrassée, soucieuse aussi que la bordure du  jupon que je portais ne vienne pas à dépasser de l'ourlet de ma robe face à ces deux hommes dont je percevais les regards persistants. De plus la conversation du fait de mon oncle s'était désormais portée sur moi, mes études. 
    
    Ma mère avait fait la bêtise, je considère que tout est parti de là, de mentionner que je commençais sérieusement à souffrir d'un début de scoliose et que notre médecin était à son avis pas compétent face à ce souci qui débutait si jeune.
    
     A ce moment, l'ami de mon oncle, je me rappelle qu'il s'appelait Francis, s'est penché à l'oreille de ce dernier pour lui murmurer quelque chose tout en ne me quittant pas des yeux avec un petit sourire. C'était un homme grassouillet, pas très grand et au visage bouffi. Le frère de ma mère a alors prononcé à peu près ces mots :
    
    — Mais mon ami est kiné spécialisé dans le traitement des cyphoses-scolioses et il pourrait examiner Chantal et nous donner son avis.
    
    Etait-ce vrai ? Je pense aujourd'hui que non bien sûr !
    
    A ce mot "examiner", je crois que je suis devenue blême, mais le pire arriva quand ma mère renchérit:
    
    — A mais oui, volontiers. Chantal tu vas montrer ton dos à monsieur...
    
    Et puis cette phrase terrible qui m'est restée : 
    
    — Retire donc ta robe !
    
    Je me souviens être restée interloquée, d'autant que je remarquais tout de suite la mine ravie de ce Francis, mais aussi l'air quasiment pervers de mon ...
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