L'invraisemblable virginité de Sylvie - Histoires de Sexe

L'invraisemblable virginité de Sylvie

... si tu ne fais pas ce que je te dis, il y aura deux morts en plein jour aux Galeries-Lafayette, t’imagines les titres de la presse demain !
— Du calme, Paul, du calme !
— J’en peux plus, Amour, j’en peux plus, c’est plus fort que moi, fait-il en versant des larmes sur ma chemise.

Je veux crier, appeler au secours, mais en regardant la flamme au fond de ses pupilles, je me rends compte qu’il est capable de nous envoyer tous les deux aux enfers, en express et en première classe, avec une ou deux hôtesses de rêve s’il le faut. Il m’embrasse sur la gorge tout en jouant de son arme dans mon nombril. Son souffle est haletant, son haleine est chaude, il tremble de tous ses membres.

— Bon, voilà, me chuchote-t-il à l’oreille, on va prendre chacun un costume, et on va à la cabine d’essayage, tu vois, elle n’est pas loin, et il n’y a pas personne.

D’un bond agile, il passe derrière moi et me colle la pointe de son pistolet sur le flanc, et l’enfonce dans mon rein. Sous son impulsion, nous faisons quelques pas vers un rayon de plusieurs griffes non connues, un vendeur debout nous regarde venir.

— Surtout, tu souris, me chuchote-t-il, puis en se rapprochant du mec : Oh chéri, dit-il dans mon oreille en haussant la voix, avec l’intention d’attirer la curiosité du vendeur, on va prendre ce modèle ! Puis en s’adressant au vendeur : jeune homme, un 50 et un 52, s’il vous plait

Le jeune vendeur, amusé par le spectacle et comme compréhensif de notre entrelacement sensuel, nous ...

... fait un clin d’œil et va nous chercher les deux costumes ; Paul prends les bouts des cintres dans sa main libre puis il me pousse vers la cabine d’essayage, alors que le jeune vendeur, nous regardant s’éloigner, se met à siffloter un air romantique.

Dans la cabine, Paul jette un œil dehors, s’assure de la bonne fermeture des rideaux puis se retourne vers moi.

— Écoute, Amour, je vais te faire une pipe, me fait-il en pointant son arme entre mes couilles… alors, Amour, tu ne fais rien… surtout rien, tu ne t’occupes de rien… je vais tout faire !
— Non Paul, je te prie, dis-je avec la peur dans le ventre.
— Shuuuut, Amour, laisse-toi faire, voilà.

Il dénoue ma ceinture et mon pantalon tombe à mes pieds, puis il tire mon slip et prend mes couilles dans sa main, il les fricote doucement puis il les presse légèrement, avec attention. Enfin il prend mon membre flasque et commence à le branler doucement.

— Tu vois Amour, tu commences à bander, c’est que tu m’aimes, Amour, oui, tu m’aimes, tu vois ! me dit-il en m’embrassant sur la chemise, oh cette merveilleuse queue, j’ai toujours rêvé de la caresser.

Il est vrai que je commence à bander, et je ne comprends pas ce qui se passe ! Soigneusement, il plie les jambes, se met à genoux et amène la tête au niveau de mes hanches.

— Non, Paul, je te prie, pas ça !
— Oh amour, chuchote-t-il en sortant la langue, oh Amour, tu as une magnifique queue.
— Non Paul, pas ça ! Non, noooooon.

Je commence à crier, attendant du ...