1. L'invraisemblable virginité de Sylvie


    Datte: 06/08/2019, Catégories: fh, hh, grp, Oral 69, pénétratio, fsodo, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... porte-cravates que je contourne pour rester à une distance de lui. Une vendeuse de choc en petite jupe rose clair et une poitrine fournie commence à douter de quelque chose, elle se rapproche de moi et projette sur moi l’odeur ensorcelante de son parfum, de quoi acheter n’importe quelle cravate, si Paul n’était pas devant moi, de l’autre côté des cravates suspendues.
    
    — Un conseil, peut-être, dit-elle en ouvrant largement sa bouche et tout son être rayonne de bonheur.
    — Humm, fais-je !
    — Je vais lui offrir un complet, mademoiselle, intervient Paul, costume, chemise et cravate.
    — Ah, c’est gentil ça de votre part, dit la charmante demoiselle, mais commençons alors par le costume !
    — Mais, attends ! Ah, il est si sensible, dit Paul à la vendeuse alors que je m’éloigne en hâte vers l’escalator.
    
    Mais il me rejoint aussitôt, et m’emboîte le pas entre les rayonnages de vestes, de cravates, de costumes, là où je vais. Dix minutes après, en caressant la douce texture d’une chemise Arrow 100% coton, je retrouve un peu de sérénité et je me retourne vers lui franchement et le regarde au fond des yeux.
    
    — Mais laisse-moi, Paul.
    — Ok, mec, je veux te dire juste un mot, à propos de Catherine !
    — Oh, lui dis-je alors qu’une vague sensation d’intérêt s’est éveillée en moi.
    — Oui, elle m’a tout raconté !
    — Tout !
    — Oui, tout.
    — Quoi ? fais-je à mi-voix, ne sachant que penser.
    — Tu l’aimes, ça je le sais ! dit-il en plongeant dans mes yeux, comme je t’aime !
    — C’est pas ...
    ... vrai ! lui dis-je, tu te fais des histoires.
    — Soit, mais pourquoi pas être heureux, tous, ensemble, tout simplement !
    — Ma-la-de ! T’es vraiment malade ! lui dis-je en changeant de rayon.
    — Mais c’est toi qui me rends malade, dit-il en m’emboîtant le pas, me tenant par le bras.
    — Ar-rê-te, lui fais-je en essayant de me libérer, puis je me précipite derrière une colonne, il vient me rejoindre.
    — Pourquoi ne pouvons-nous pas vivre ensemble ? me fait-il en me prenant par le col de la veste, presque en pleurs.
    — Parce que je ne t’aime pas, Paul, sexuellement je veux dire, dis-je avec énervement. J’aime pas les mecs, tu ne comprends pas ?
    — Mais, tu aimes Catherine !
    — Oui, mais Catherine, ce n’est pas un mec !
    — Alors tu l’aimes, j’en étais sûr !
    — Con-ne-rie, dis-je avec dégoût, m’apercevant que je suis tombé dans son piège, voilà, je n’aime personne, d’accord Paul, personne, je n’aime personne, dis-je en haussant la voix et en parcourant des yeux le magasin.
    — T’as vraiment le cœur dur comme… comme… comme ce mur, dit-il avec grande peine, en levant ses mains vers le plafond.
    
    Je veux bondir et courir, prêt à sauter de la fenêtre s’il le faut, mais je sens quelque chose de dur qui me rentre dans le ventre, et Paul qui me presse de tout son corps contre la paroi de la colonne.
    
    — Qu’est-ce que tu fais ? lui dis-je épouvanté.
    — C’est de ta faute, tu vas m’obliger à faire des conneries ! dit-il avec un air méchant.
    — C’est quoi ce truc ?
    — Un 9 millimètres, mec, et ...
«12...789...13»