Escapade à Dinard
Datte: 06/08/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: Laetitia sapho, Source: Hds
... retrouvées et unies dans un baiser torride. Séverine respirait fort. Elle avait de son côté ôté le peu de vêtements qui me restait. Bientôt nous fûmes toutes les deux nues, ne gardant que nos bas auto-fixants et nos chaussures.
Nous roulions l’une sur l’autre sur la couverture. Elle au-dessus, moi en dessous et inversement. Nos mains couraient sur nos corps respectifs : seins, ventre, sexe, cuisses, fesses …
Après avoir roulées l’une sur l’autre, elle dessus, moi dessous, inversement et nouvelle roulade, nous nous sommes retrouvées en 69, je ne sais comment, elle dessous, moi dessus, nos langues en action sur nos lèvres intimes et sur nos clitoris, tout humides. Séverine lâcha un petit « Oh oui » étouffé.
Et c’est là …. Que l’averse nous surprit. Pris par nos ébats, nous ne nous étions pas rendu compte que le temps changeait et se couvrait. La pluie de début d’automne, assez violente, nous tomba dessus :
- Viens sous les arbres, on ne s’arrête pas ! fis-je dans un souffle.
Nous nous sommes levée et avons traversé la clairière toutes les deux nues en nous tenant par la main. Arrivées à la lisière, Séverine m’a plaqué contre le premier tronc d’arbre venu. Elle s’est collée à moi, sa bouche est descendue, elle a mordillé un de mes tétons, puis s’est agenouillée sur le sol et sa bouche s’est portée à mon pubis.
La pluie dégoulinait sur nos visages et sur nos corps malgré le feuillage au-dessus de nous. Nos cheveux étaient plaqués à nos fronts.
C’était très ...
... érotique comme situation, très chaud, bouillant même.
Je n’ai pas tenu très longtemps. La langue et les lèvres de Séverine autour mon clito, m’ont fait jouir très rapidement, pendant que deux de ses doigts fouillaient mon vagin.
A peine l’orgasme, passé je repoussais Séverine :
- A toi, maintenant, lui soufflais-je en la retournant et en la collant à son tour à l’arbre.
Son ventre et sa poitrine était collés à l’écorce, ses bras autour du tronc. Je m’accroupie derrière elle, écarta ses fesses et commença un massage du bout du doigt de son sexe. J’ai introduit mon doigt au fond de son vagin et je l’ai branlée avec vigueur. Elle agrippait l’arbre à bras le corps en gémissant. Je l’ai légèrement décollée, l’ai faite se cabrer, puis j’ai porté ma bouche à son sexe, pour la faire jouir à son tour.
Je goûtais sa cyprine, la mélangeant à ma salive. J’entendais Séverine marmonner. Je ne comprenais pas ce qu’elle disait, juste parfois, une bribe de phrase (« C’est bon », « Comme ça »).
La pluie redoublait et coulait, dégoulinait même sur nos corps.
Séverine s’est raidi, ses muscles se sont tendus. J’avais agrippé ses cuisses, qui n’étaient durs comme le bois de l’écorce de l’arbre.
Elle poussa un petit cri, quand l’orgasme s’est déclenché, puis elle souffla, puis une nouvelle série de petits cris le visage collé au tronc d’arbre. Lorsqu’elle se tourna vers moi, après avoir joui, un sourire sur les lèvres, je vis que sa joue était incrustée de motifs comme gravée ...