1. Escapade à Dinard


    Datte: 06/08/2019, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Laetitia sapho, Source: Hds

    ... semblait avancer un peu au hasard, prenant des routes de campagne de plus en plus petites. Nous avons enfin traversé une forêt. Elle a engagé la petite voiture coupée sur un chemin forestier. Après quelques mètres, il a paru évident que la voiture très basse n’irait pas plus loin. Elle a coupé le moteur. Nous nous sommes regardées et nos bouches se sont rapprochées l’une de l’autre, pour un baiser tendre puis plus passionné, puis complètement passionné, le tout accompagné de multiples pelotages de cuisses et de seins.
    
    - On y va ? me dit-elle dégageant ses lèvres des miennes
    
    - Oui, allons-y …
    
    - Je prends la couverture dans le coffre
    
    En ce milieu d’après-midi, le temps était toujours radieux et très doux, ça allait être très agréable de s’envoyer en l’air avec Séverine au milieu de cette forêt.
    
    - Éloignons nous du chemin, me dit-elle
    
    Nous nous sommes engagées dans le sous-bois. Bon, nos tenues (jupes courtes et serrées, escarpins) n’étaient pas du tout adaptées à la situation. Nous avons pris un petit sentier. Mes talons hauts s’enfonçaient dans la terre ramollie par l’humidité des sous-bois.
    
    - Là-bas ! me dit-elle en désignant le côté gauche. Il y a plus de lumière. C’est surement une clairière, allons voir …
    
    Nous avons quitté le sentier, j’ai manqué de me tordre la cheville plusieurs fois. Les ronces s’accrochaient à mes chevilles et m’égratignaient la peau. En plus non content de crépir mes escarpins, ça allait me filer mes bas.
    
    Nous sommes ...
    ... arrivées dans une petite clairière, à l’écart du moindre sentier. C’était très bucolique.
    
    - On va être bien ici, me dit-elle en étalant la couverture sur l’herbe au milieu des fougères.
    
    - Parfais, oui, fis-je en m’agenouillant sur la couverture.
    
    Séverine vint se mettre à genoux également devant moi et nous reprîmes notre baiser là où nous l’avions interrompu pour descendre de la voiture. Ses mains agrippèrent les fesses, puis firent remonter ma jupe sur mes cuisses pour les découvrir.
    
    Elle dégagea sa bouche de la mienne juste le temps de dire :
    
    - Tu es belle !
    
    - Toi aussi, tu me plais ….
    
    - Non, toi, tu me plais plus !
    
    - Tu es aussi salope que moi, je pense !
    
    - Ça, ça reste à prouver, rétorquais-je avant d’enfoncer à nouveau ma langue dans sa bouche.
    
    De mon côté, j’avais fait tomber sa veste de tailleur et je m’attaquais aux boutons de son chemisier, pressée de découvrir sa poitrine que j’imaginais ferme.
    
    Elle me fit lever les bras pour ôter mon petit haut en laine. Nous étions toutes les deux en soutien-gorge, nos jupes remontées sur nos fesses à nous frotter nos poitrines l’une contre l’autre.
    
    Je m’allongeais sur le dos sur la couverture l’attirant sur moi. Je passais mes mains sur le bas de son dois, à la recherche de la fermeture qui maintenait sa jupe. Je la fis sauter et la baissa sur ses cuisses. Puis je m’attaquais à son soutien-gorge que je dégrafais et enfin à sa culotte que je baissais aussi sur ses cuisses.
    
    Nos langues s’étaient ...
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