1. Quand belle-maman a pleuré


    Datte: 09/03/2018, Catégories: fh, fplusag, alliance, vacances, pénétratio, confession, bellemere, Auteur: Yohanes, Source: Revebebe

    ... tourné ma tête vers elle : je n’oublierai jamais cette vision.
    
    Son regard horrifié, mêlé de honte et de gêne. Son peignoir était ouvert jusqu’au nombril, j’avais une vue imprenable sur son ventre, mon visage à quelques centimètres de sa chatte. Mon sexe m’en faisait mal, tellement la situation était excitante. Nous avons planté nos yeux dans un regard interminable. À la première fraction de seconde, il aurait fallu tout arrêter, s’excuser, se lever, bref, casser le charme. Au lieu de cela, les yeux dans les yeux, nous nous sommes regardés longuement, cherchant dans le regard de l’autre un reproche, une invitation, un interdit, une envie… Les secondes défilant, c’était bien l’envie de ne rien casser qui restait.
    
    Je l’enlaçais toujours et de son côté, elle me caressait les cheveux. Dans nos yeux se lisait l’envie d’aller plus loin, aller au-delà de l’interdit, mais sans oser… Finalement c’est moi qui ai fait le premier pas. Brisant l’étreinte, je l’ai invitée à s’allonger tandis que je remontai vers sa tête. Nous nous sommes retrouvés allongés sur le côté, l’un face à l’autre. Son peignoir complètement ouvert révélait ses seins tombants. Nous nous sommes collé l’un à l’autre comme si nous prolongions ainsi un câlin innocent, sauf que nos corps nus se touchaient et que mon sexe touchait le sien. Divine sensation que découvrir sa chatte sans la voir, juste du bout du gland. Je pouvais sentir quelques poils et l’humidité de son intimité. Nous continuions à nous regarder ...
    ... sans oser rien dire. Désormais, toute notre attention se portait sur nos sexes et l’interdit que nous étions en train de défier. En bougeant légèrement le bassin, le frottement de nos sexes provoquait des frissons. Est-ce que nous voulions faire l’amour, je ne saurais dire… ou juste, je crois, savourer le plaisir de l’interdit, contempler l’autre dans sa nudité, sans oser y croire, sans oser penser que ça pourrait aller plus loin… même si nous savions bien déjà qu’il y aurait pas de retour en arrière.
    
    Ses mains étaient douces, elles les passaient tendrement dans mes cheveux. De mon côté, j’en avais glissé une sous le peignoir pour l’enlacer à la taille et la plaquer contre moi. De l’autre, je suis allé à la rencontre de ses seins. Nous étions dans une douceur pure, sensuelle, maternelle, sexuelle, un peu comme un massage réciproque… La jouissance à cet instant n’était pas importante, juste l’instant et la sensualité. À aucun moment, je n’ai pensé à ma femme, en fait je ne pensais à rien, seulement à scruter le regard de Karima, son plaisir, son envie, ses invitations…
    
    L’étape suivante, c’est Karima qui a mon grand bonheur l’a franchie. Elle a passé sa jambe par-dessus ma hanche, me présentant ainsi sa chatte grande ouverte, prête à m’accueillir. Toujours les yeux dans les yeux, je donnais de petits coups de gland sur ses lèvres, son clitoris. À présent, tous les deux nous savions que nous allions faire l’amour. La sensation était délicieuse, sa chatte était ouverte, ...