1. Quand belle-maman a pleuré


    Datte: 09/03/2018, Catégories: fh, fplusag, alliance, vacances, pénétratio, confession, bellemere, Auteur: Yohanes, Source: Revebebe

    J’avais alors trente et un ans, marié depuis cinq ans à Sarah, une métisse algérienne à la peau mate et de longs cheveux noirs. Nous nous étions rencontrés sur Paris, à l’occasion de mes études. Sarah vivait alors avec sa mère Karima. Son père les ayant abandonnées, elles vivaient très simplement dans un petit appartement de la banlieue de Trappes. Karima m’a très vite accepté et c’est avec soulagement qu’elle a laissé sa fille partir faire sa vie avec moi.
    
    À l’époque de cette histoire, nous avions deux enfants. Trappes n’était plus qu’un souvenir, désormais nous étions installés sur Bordeaux. Cela faisait loin pour Karima, mais elle faisait son possible pour venir voir le plus souvent possible ses petits-enfants. Contrairement à sa fille qui, malgré ses deux grossesses, avait retrouvé sa ligne fine et des petits seins, Karima était bien en chair, avec des seins qu’on devinait lourds. Je n’ai jamais eu de fantasmes sur ma belle-mère. Avec son allure et ses attitudes, toujours à prendre soin de nous, nous préparer de bons petits plats et ses habits démodés, elle était une mère autant pour moi que pour ma femme.
    
    Souvent, elle nous accompagnait en vacances. Cela nous faisait plaisir pour elle et puis, il faut bien admettre que cela nous soulageait des enfants pendant qu’on profitait de notre liberté, Sarah et moi, pour de fabuleuses parties de jambes en l’air. En cette fin d’été, nous étions allés dans le sud profiter de la mer. En maillot de bain, ma belle-mère n’avait ...
    ... pas grand-chose d’excitant, mis à part une poitrine assez généreuse. Pour le reste, elle ne faisait rien pour se mettre en valeur. Et il ne me serait jamais venu à l’idée de l’imaginer autrement que sage. Les vacances étaient quasiment terminées quand ma femme reçut un appel de son boulot : elle devait rentrer d’urgence. Les enfants aussi en avaient marre, ils étaient infects et voulaient rentrer. Dommage pour ma belle-mère, car le lendemain, nous avions prévu une sortie en mer et c’était son plus grand rêve.
    
    Nous décidâmes avec ma femme que je resterai pour les deux derniers jours avec sa mère. Après tout, autant profiter de la location jusqu’au bout et pour une fois qu’elle n’aurait pas à se soucier des enfants, elle pourrait vraiment prendre du temps pour elle. Ma femme était partie dans l’après-midi, les enfants sous le bras… Ouf ! Un peu de calme !
    
    Le soir sur la terrasse, nous avions fini de dîner et j’avais papoté avec ma belle-mère. Pour la première fois, elle s’était livrée sur sa vie, sa jeunesse, son mariage, sa vie seule. En fait, je la connaissais peu. Son histoire était touchante, c’était une personne fragile, sensible, qui avait tiré un trait sur sa vie de femme. Elle m’a dit alors à quel point elle m’appréciait et, au moment de nous coucher, au lieu de la traditionnelle bise, je l’avais prise dans mes bras. Rien d’extraordinaire, je l’avais trouvée tellement touchante ce soir-là que j’ai eu envie à cet instant de lui donner un peu de réconfort. Nous sommes ...
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