1. Quand belle-maman a pleuré


    Datte: 09/03/2018, Catégories: fh, fplusag, alliance, vacances, pénétratio, confession, bellemere, Auteur: Yohanes, Source: Revebebe

    ... restés quelques secondes enlacés, innocemment, j’aurais très bien pu serrer ma mère ainsi. Rendez-vous fut pris pour le lendemain matin, pour la sortie en mer : lever prévu à 6 heures.
    
    Je me suis couché, nu comme à l’habitude dans le grand lit, seul. Aucune pensée coquine envers ma belle-mère malgré ce câlin au demeurant fort agréable.
    
    La première chose qui m’est venue à l’esprit au matin fut une douce sensation de chaleur, mais aussi une forte odeur féminine. J’ai mis longtemps à comprendre, il me semblait être revenu à l’enfance. Cette sensation d’être cajolé, protégé par une douceur maternelle. Sensation enivrante et troublante. J’étais encore dans mes rêves. Karima m’a raconté plus tard qu’elle partait prendre une douche et qu’elle était passée par ma chambre, car je ne m’étais pas réveillé et que nous allions être en retard. Elle avait frappé à ma porte, mais, sans réponse, elle était entrée. Elle s’était assise sur le bord du lit, à la place de ma femme et m’avait gentiment secoué pour me réveiller. Encore dans mon sommeil, je m’étais retourné et avais cherché à me blottir contre cette source de chaleur. Voilà comment je m’étais retrouvé, la tête posée sur le coton du peignoir, mon visage si proche de sa peau au travers du tissu et mes bras l’enlaçant, cherchant à comprendre cette sensation imprévue.
    
    Quand j’ai repris mes esprits, j’enlaçai Karima dans son peignoir, la tête posée sur sa cuisse. J’avais gardé les yeux fermés, la sensation était trop exquise. ...
    ... Faire semblant de dormir ? Je n’avais aucune idée de comment nous en étions arrivés là. Savait-elle que j’étais réveillé ? J’ai senti sa main dans mes cheveux et je l’ai entendue d’une voix très douce me glisser :
    
    — Sébastien, on est très en retard, on va rater le bateau.
    
    Mais le son de sa voix était trop doux, comme si elle n’avait pas vraiment envie de me réveiller.
    
    — Sébastien… tu dors ?
    
    Voulant profiter au maximum de l’instant, j’avais fait semblant de bouger dans mon sommeil, ma tête glissant le long de ses jambes vers sa peau, à l’endroit où le peignoir était ouvert, et en l’enlaçant encore plus.
    
    Je crois qu’elle n’osait plus bouger du tout. De mon côté, cette fois-ci parfaitement conscient de la position dans laquelle j’étais, je cherchais à tout prix à capter ses odeurs les plus intimes. Ma tête sur les jambes de ma belle-mère dans la douceur du matin et avec la gaule du réveil, c’était d’une sensualité incroyable ! Heureusement que j’étais sur le ventre ! Oubliant avec qui j’étais, je n’étais plus qu’un mâle en rut, complètement shooté aux phéromones femelles. Nous sommes restés quelques minutes ainsi. Ça tournait à toute vitesse dans ma tête, je me demandais si elle savait que j’étais réveillé, je me demandais comment sortir de cette position, comment sauvegarder les apparences… J’ai ouvert les yeux, je voyais le bas des jambes de Karima, sur ma tête, j’ai senti ses seins, elle se penchait sur moi :
    
    — Sébastien…
    
    Gardant la même position, j’ai ...