1. Retour du bâton


    Datte: 05/08/2019, Catégories: fh, hagé, fagée, grossexe, fsodo, Humour Auteur: Armel, Source: Revebebe

    ... femme. Les yeux exorbités face à cette assurance inhabituelle, elle se sentit toute petite, à sa merci, incapable de réagir. Elle sentait venir l’instant fatal sans savoir quelle forme il risquait de prendre.
    
    Il se concrétisa d’abord sous l’aspect d’une grosse main calleuse, dont elle ne vit un bref instant que le revers, qui lui vola en travers de la figure. Elle valdingua en tourbillonnant en direction du lit. Les aléas de la voltige voulurent qu’elle atterrît sur le dos, jambes relevées, ce qui eut pour effet de retrousser sa robe assez haut sur ses cuisses enveloppées de bas épais. Cela ne calma pas les ardeurs massives de son buffle de mari en rut. Car il s’agissait bien de cela au regard de l’excroissance qui tentait de faire exploser son pantalon à l’endroit fatidique. Rolande s’en était aperçue. Comprenant ainsi une partie de la raison d’une telle furie, elle manqua de s’évanouir. Dans le même temps, elle voyait la feuille de papier qu’il brandissait. Sans vraiment réfléchir, elle essaya une ultime ruse, assez grossière, entre deux sanglots mal feints.
    
    « Qu’est-ce qui se passe, mon Georginet ? »
    
    Même ce dernier mot doux et assez inusité ne tempéra pas l’animal, bien au contraire. Il jeta la lettre par terre afin de disposer de ses deux mains pour un déboutonnage de braguette en règle.
    
    « Ah, ma chaudasse ! Tu vas voir, ma chaudasse ! Je vais t’en foutre, moi, du Georginet ! »
    
    Cette promesse à peine énoncée, il fit jaillir de son caleçon l’énorme engin ...
    ... dont Rolande avait oublié les proportions hors du commun. Les yeux sortaient presque des orbites de la pauvre femme. Le jean informe tomba sur les pieds et, posant un genou sur le bord du lit qui criait grâce, Georges s’acharna sur la tenue vestimentaire de sa victime. Elle essaya bien de se défendre dans un pitoyable sursaut, mais la main de son Georginet renouvela son numéro, modifiant brusquement son champ de vision. Sous le coup, son regard se trouva face au miroir, miroir sur lequel elle put contempler le triste spectacle. Une fois tous les obstacles dispersés aux quatre coins de la pièce, Georges l’enfourcha dans un grognement digne des heures les plus chaudes de la savane au printemps.
    
    Le membre monstrueux fiché en elle, doté d’une vigueur qu’elle ne lui avait pas connue, elle ne put réprimer un petit cri de chèvre. Georges la regardait de ses gros yeux rouges, ses bras velus plantés comme deux piliers de part et d’autre de son corps malmené. Les travaux d’enfouissement furent rudes. Rolande, cependant, sentait monter en elle sourdement une drôle de sensation, inconnue et troublante. Ce curieux picotement au fond de son ventre rebondi la désorientait. En outre, il avait une fâcheuse tendance à s’amplifier. D’abord méfiante, elle se laissa ensuite gagner par les ondes chaudes, engendrées par les coups de pilon de son mâle déchaîné.
    
    Qu’est-ce que c’était que ça ?
    
    Georges, de son côté, était tout à son agitation frénétique. Chacun de ses robustes allers et retours ...
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