1. Soirée entre collègues


    Datte: 04/08/2019, Catégories: fhh, couplus, intermast, Oral double, confession, couple+h, Auteur: A.Keelt, Source: Revebebe

    ... longtemps pour qu’elle tienne fermement nos deux sexes dressés, un dans chaque main. Chacune semblait douée d’une vie indépendante, alternant de légers mouvements verticaux avec de délicates pressions à la base, le tout lui permettant d’obtenir, à la force du poignet, une fermeté à toute épreuve.
    
    Thomas échappe à sa prise et se coule entre ses cuisses, la soulève un peu pour faire glisser sa culotte. Elle en profite pour saisir mon sexe à deux mains, une main sous les couilles, une main enserrant ma colonne, s’amusant à décalotter mon gland. Thomas la repousse un peu en arrière, s’installe comme il peut entre la table basse et le canapé. Il enfonce consciencieusement sa tête entre ses jambes, sa langue entre ses lèvres, titille un peu en pointant la langue, repasse avec le plat de la langue. Le plaisir qu’il lui donne se transmet à ses mains, qui accélèrent, ralentissent, serrent plus ou moins. Elle se penche vers moi, sa bouche m’absorbe, un peu, beaucoup, passionnément, un peu plus, remonte, redescend, ses yeux remontent aussi, vers les miens, rieurs, avec une petite lueur de défi pendant que sa langue chatouille mon gland, qui me semble – est-ce la perspective ? sa dextérité ? le fait de n’avoir pas joui encore ? – gros, énorme, qui disparaît pourtant complètement entre ses petites lèvres.
    
    Thomas se redresse. Il n’a rien perdu de sa vigueur. Il aide Anjelika à se mettre debout, l’installe sur moi, un genou de chaque côté de mes cuisses. Sa main attrape mon sexe ...
    ... pendant qu’elle m’enfile un préservatif, l’aide à trouver l’entrée secrète qu’il a préparée. J’entre un peu, beaucoup, passionnément. Chaleur intense autour. Chaleur humide. Sa chatte est un écrin de satin, elle m’aspire, je m’engouffre complètement en elle. Elle laisse échapper un petit cri. Thomas s’est remis à genoux, embrasse ses reins, ses mains emprisonnent ses seins par dessous le t-shirt. Mes yeux sont plongés dans ses yeux, immenses de bleu. Doucement, tout doucement, elle s’élève, je ne bouge pas, ses hanches montent haut, se laissent retomber. Thomas s’engouffre dans le sentier étroit, plonge la langue, baisers mouillés. Mouvements de bassin qui enflent, ses yeux ont la « tremblance » d’une flamme, chaque fois que la langue de Thomas s’enfonce, ils vacillent un peu plus, elle coulisse un peu plus fort.
    
    Je vois Thomas qui se relève de nouveau. Se place juste derrière elle, d’une main sur la nuque arrondit son dos, la pousse un peu plus sur moi, dégage un passage. De l’autre main il tient son sexe, qu’il guide. Anjelika cesse de bouger, souffle, je sens – du dedans – son corps qui cherche à s’ouvrir au maximum, murmure « viens, viens », tend ses reins vers l’arrière, vers son homme dressé, je sens qu’il s’engouffre dans la brèche, mon sexe se retrouve un peu plus sous pression, de l’autre côté de la fine paroi, le sexe de Thomas viens de se joindre à la danse. Elle nous emmène, nous donne le rythme, la cadence, nous sommes des marionnettes à l’intérieur d’elle. Elle ...