1. Soirée entre collègues


    Datte: 04/08/2019, Catégories: fhh, couplus, intermast, Oral double, confession, couple+h, Auteur: A.Keelt, Source: Revebebe

    Parti en voyage d’affaire en Europe Centrale, je me laisse aller à une douce rêverie dans l’avion, grâce à une charmante voisine, rêverie (pas la charmante voisine, hélas !) jusque sous la douche.Après une dure journée de labeur avec Monika, Richard retrouve son ancien collègue Thomas qui les invite à dîner.
    
    — Comment trouves-tu la Slovaquie ? m’apostrophe Thomas l’air rigolard, le sexe pointant toujours légèrement vers le haut. Ne sois pas surpris, nous sommes un couple très ouvert et nous avons à cœur de bien recevoir nos hôtes. Et quand j’ai su que tu venais ici, j’ai raconté quelques-unes de nos virées à Anjelika, elle n’en a que plus voulu bien te connaître !
    — Ça ne m’étonne que peu de toi que tu aies réussi à dénicher une perle rare, mais Monika ?
    — Monika, hum… Monika, c’est une longue histoire un peu sordide.
    — Je ne te connaissais pas si romantique, rigolai-je.
    — N’est-ce pas ?
    — Je conviens qu’elle forme avec ton épouse un appel au plaisir. Dis-moi, que sont devenus les commerciaux ?
    — Le plus entreprenant, celui dont j’ai une jolie photo avec sa queue dans la main d’Anjelika, est toujours là, c’est le directeur commercial pour les pays en « stan » – Tadjikistan, Kazakhstan, Turkménistan… Très bon dans son boulot, on ne le voit pas souvent au centre. Je lui ai fait comprendre qu’il était préférable pour lui de ne pas être dans mes pattes. Les deux autres ont, comme on dit pudiquement, « choisi de poursuivre leur carrière à l’extérieur du groupe ». Je te ...
    ... ressers un verre ?
    — Avec plaisir.
    
    Nous étions toujours nus, à discuter en prenant l’apéritif, lorsqu’Anjelika est revenue. J’allai me rhabiller mais Thomas me retint par le bras.
    
    — Ne t’inquiète pas, elle en a vu d’autres.
    
    Elle avait passé un t-shirt blanc sur le devant duquel était inscrit « LOVE Paris » en petits diamants, et une paire de mules à talons. À chaque pas, son t-shirt remontait de quelques centimètres et dévoilait une fine culotte noire en tissu transparent.
    
    — Monika se repose quelques instants. Elle a eu une longue journée de travail, ajouta-t-elle en me lançant un sourire. Si nous passions à table, j’ai une faim de louve.
    — Nous serons mieux sur le canapé, on ne va pas faire des manières pour Richard. Plus maintenant en tout cas, lança-t-il en riant. Amène donc les plats ici.
    
    C’est donc fort peu vêtus que nous avons dîné, sommairement, de champagne et de toast. Plaisirs de la bouche, plaisir des yeux également, à contempler Anjelika, le visage rayonnant, à peine quelques rides discrètes autour de ses yeux rieurs. Mon regard se perdait régulièrement entre ses jambes où, sous son slip, se dessinait élégamment sa fente.
    
    — Monika a dû s’endormir, lança-t-elle en s’enfonçant confortablement dans le canapé, entre nous deux. Tant pis pour elle, ajouta-t-elle en souriant et en laissant tomber ses mains sur nos cuisses respectives.
    
    Instantanément, les machines se mirent en branle, et sortant de leur demi-sommeil, s’étirèrent. Il ne fallut pas ...
«123»