1. La palombière


    Datte: 03/08/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Emile, Source: Hds

    ... mouvement. Ses mains serrent fermement mes hanches. Voyant que je suis stablement appuyé sur mes pieds et que mes mains enserrent puissamment la barre, il laisse glisser ses doigts jusqu’à mes attributs. Il appuie son ventre sur mon dos qui s’échauffe du frottement rapide de nos peaux. Il commence à malaxer fortement mes bourses tout en branlant mon sexe comme s’il voulait à tout prix rendre ce moment douloureux. Il y réussit assez bien car ce geste provoque un réflexe de resserrement de mon cul qu’il a plaisir à défoncer de plus en plus violemment tout en serrant ses mains de plus en plus fort. Je pousse à chaque mouvement des grognements de douleur. J’ai mal et tout cela me parait interminable quand, soudain, je sens des jets chauds et saccadés remonter dans mon colon et l’entends hurler de plaisir alors qu’il me broie littéralement les bourses et la bite. Nous restons ainsi, l’un dans l’autre, lui repu et détendu, moi fatigué et douloureux. Quelques secondes s’écoulent et je vois mon sac et mes vétements jetés du haut de la palombière dans le chemin et suis poussé vers l’échelle. Nu et sale, le bas ventre et le rectum douloureux, les tripes remplies de semence, je commence à descendre de façon malhabile. Mes hôtes m’obligent à coup de pieds à accélérer le mouvement et me voici sur le chemin. Lorsque je reprends possession de mes affaires, rien ne paraît avoir disparu si ce n’est le descriptif du gîte ou je réside. Peu importe ! Je reprends calmement en écartant un peu les ...
    ... jambes le chemin du retour. Quel inoubliable moment !
    
    Le lendemain soir vers 23h30, je lis nu dans mon lit, fenêtrée ouvertes à cause de la chaleur. Les lumiéres du village viennent de s’éteindre lorsque je m’entends appeler à voix basse. Je me lève et me penche à la fenêtre. Mon vieux chasseur de palombes est là dans la semi obscurité. Il murmure : « Descends sans te rhabiller. Je te veux à poil pour mon plaisir. » J’hésite. Je finis par sortir car j’ai aimé la veille être ainsi soumis. « A genoux ! » murmure-t ’il. Je m’exécute tandis qu’il baisse son pantalon, dévoilant sa verge dressée. Je la gobe servilement. Il saisit mes joues et commence à me baiser profondément la bouche au point qu’il heurte ma gorge. Je bave abondamment. Je crains qu’une voiture passe sur la route et d’apparaitre honteusement nu et servile dans le pinceau de ses phares. Il s’en moque. Sa queue une fois durcie, il me pousse vers le talus et me prend à quatre pattes sur l’herbe. Ses mains se positionnent comme la veille mais sans violence. Nous faisons longuement l’amour. Il me branle divinement et je finis par hurler ma jouissance dans le silence de la nuit. Je le sens à nouveau se soulager en moi. Je suis heureux, rempli de sa vie, toujours totalement nu à quatre pattes sur mon talus. Je l’entends s’éloigner en disant : « Une telle salope mérite d’être baisée toutes les nuits… Quel plaisir de te voir bouger de façon aussi obscène ! Demain je t’encule encore… Sois là sinon je te trouverai et ce ...