La palombière
Datte: 03/08/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Emile, Source: Hds
... Il s’occupe à déverrouiller la barrière et la plaque de sécurité de l’escalier. Le second, bien plus maigre, beaucoup plus âgé et dégarni, s’intéresse immédiatement à moi. Il a un regard clair et sautillant qui me met mal à l’aise. Il me déshabille des yeux sans vergogne, souriant, un rictus à demi sarcastique vissé au coin des lèvres. Décidément, les chasseurs du coin sont d’humeur friponne ! Il éructe d’une voix éraillée: « Une visite privée de l’édifice vous tente ? Je serai heureux de vous faire apprécier l’intimité de ce lieu ! » Je ressens l’allusion salace sous l’apparente courtoisie mais me sens curieusement flatté de l’attention qu’il me porte. J’accepte vite, trop peut-être et me dirige vers l’échelle, une main encombrée de mes affaires.
Dès les premières marches, aucune ambigüité ne subsiste. Le vieux, qui monte derrière moi, pose une main sur mes fesses et les pelote puis, au gré de l’ascension, la fait glisser entre mes cuisses jusqu’à atteindre mon sexe. Je me surprends à m’écarter un peu pour faciliter la caresse. Alors que j’arrive au niveau de la plateforme dans cette posture ridicule, le plus jeune me hisse de la main et me déleste de mon bagage. Son ainé nous rejoint et se précipite sur ma ceinture pour achever de me dénuder. Lorsque mon short touche le sol il m’ordonne : « Le reste aussi ! A poil ma salope ». Mon cœur s’emballe et l’émotion m’envahit. Je suis heurté par tant d’irrespect et à la fois ravi de voir mon impudeur chronique enfin percée à ...
... jour. A peine dévêtu, totalement nu, les deux hommes m’installent à plat torse sur une petite table placée au centre de la structure. Des doigts inquisiteurs viennent s’humecter dans ma bouche avant de s’enfoncer fermement dans mon anus qu’ils assouplissent de quelques va-et-vient. Mon sexe tendu et ma respiration haletante trahissent mon excitation grandissante. Ma nuque, mon dos, mes hanches, mes fesses, mes cuisses sont savamment étrillées et s’érotisent. Je me tortille de plaisir conscient de me comporter en « allumeuse », mais je me délecte d’être ainsi traité.
Très vite, la longue et fine queue du vieux pénètre mes viscères et remonte doucement en moi. Je ressens chaque étape de sa progression comme un nouveau dépucelage. Je suis impatient de sentir ses couilles contre les miennes et de laisser son phallus coulisser en moi pour m’enflammer de bonheur. Le jeune, à ce moment, cesse de branler sa courte queue et la rentre profondément dans ma bouche. Lorsque le vieux commence à me ramoner, ma langue et ma lèvre supérieure tètent en cadence la jeune bite durcie. Curieusement, ma bouche est aussi excitée que mon cul, ma gorge que mes intestins. Les mains osseuses du vieux pétrissent vaillamment mes hanches, celles potelées du jeune pressent mon crane au niveau des oreilles et facilitent le coulissement de son sexe vers ma gorge. L’ancien s’impose comme le maitre du tempo tandis que son alter ego se contente d’accompagner le mouvement. Ils me besognent longuement alternant de ...