La lutte des classes (1)
Datte: 02/08/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... obtempèrent. Je fais la photo. Je passe à d’autres couples, Trois et Deux, Un et Trois, Quatre et Deux, Cinq et Un. Et toutes les filles ensemble, comme dans une partouze de gouines. Je finis ma pellicule là-dessus. Je la sors et la remplace par une nouvelle. Je veux la ranger, mais R me la prend des mains et lance aux guides :
— On garde ça avec nous. Imaginez ce qu’il adviendrait de la réputation de vos familles si cela sortait dans la presse. Ou simplement si cela arrivait au siège des scouts.
— On la mettra au feu quand vous pourrez repartir, les avertit Chef. Vous verrez que nous, on tient parole.
Je reprends ma pellicule et la range. On remet leur laisse à ces chiennes et l’on se demande ce qu’on va faire. Vu l’heure, on a faim. Elles sont chargées de nous donner à bouffer, de préparer, servir et attendre qu’on ait fini pour manger à leur tour. Il faut bien donner des coups de temps en temps pour les forcer à obéir, et par pur plaisir aussi. Chef sort ensuite les livres qu’il a amenés, et nous lit des écrits de Karl Marx, de Lénine et de Staline. Nous écoutons tous sagement. Les filles sont agenouillées au pied de celui qui les a attrapées. Je fais une ou deux photos pour immortaliser cette scène. Puis, Chef annonce la suite du programme :
— Bien. C’est tout pour ce soir. Niveau apprentissage de la bonne morale. On va jouer un peu avec vous. Vous allez finir ce que vous avez commencé.
Elles ne comprennent pas, et moi non plus d’ailleurs.
— Quand on a ...
... fini les photos, vous vous touchiez toutes les cinq. Vous allez reprendre là, et vous tripoter jusqu’à jouir ensemble.
J’aurais dû être choqué, mais je suis hyperexcité. Elles ouvrent de grands yeux outrés. Un veut protester, mais Chef lui inflige une claque sévère sur les seins. Les autres filles reçoivent la même punition, même Deux qui n’a pas grand-chose pourtant. Elles se regroupent et on les détache sinon les laisses vont s’emmêler. On se met autour et l’on attend qu’elles commencent. Mais cela ne bouge pas, alors les fouets s’abattent violemment sur les culs, les ventres et les seins. Elles finissent par s’embrasser en pleurant et en geignant. On doit leur dire de se toucher les nichons, les fesses. Mais cela n’est pas suffisant, il faut qu’elles se doigtent. Alors les bandoulières sont agitées en menace. Cela marche, elles se rentrent des doigts dans les chattes. Mais elles se le font à elles-mêmes. Il faut leur rappeler la consigne. Elles hésitent puis finissent par fourrer un doigt dans le con de la voisine.
— Vous avez intérêt à vous faire jouir sinon vous allez le sentir passer, menace M.
— Si l’une simule, on le verra et vous prendrez toutes cher, ajouté-je.
Elles activent alors frénétiquement leurs doigts dans l’intimité de l’autre. Cela commence à gémir de plaisir. Moi, je bande comme un âne, j’ai envie de me branler.
— Chef, on peut se branler ? demande R.
— Ouais, s’il te plaît, quémande aussi B.
— D’accord, et moi aussi j’ai envie.
On ...