1. La lutte des classes (1)


    Datte: 02/08/2019, Catégories: Trash, Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... sort nos bites et l’on se branle devant ce spectacle. Ces salopes ne peuvent s’empêcher de nous mater la queue ! On leur rappelle encore la consigne tout en les fouettant sur les cuisses. Me branler d’une main, fouetter de l’autre des salopes en train de se gouiner, je suis déjà au bord de l’orgasme. J’entends des "flop, flop, flop", les chattes doivent être bien humides. Elles vont peut-être bientôt jouir. En effet, cela ne tarde pas, Cinq et Trois partent les premières. Les trois autres les suivent de près. Moi, je ne tiens plus et j’envoie plusieurs jets vers les filles à terre. Mes camarades se vident aussi les couilles rapidement. Chef attrape Deux, et essuie sa bite dans ses cheveux et sur son visage. Elle voudrait se débattre, mais sa poigne est trop forte. On attrape tous une fille et l’on s’essuie sur elle. Moi, j’ai pris Cinq, B Quatre, M Un et R Trois.
    
    Elles sont cassées psychologiquement pour l’instant. Elles nous suivent docilement quand on va se coucher. On leur attache les mains dans le dos pour la nuit. On n’est pas sûr qu’elles vont rester sages. Alors, on met en place un tour de garde. Je commence, j’en profite pour les regarder encore. Un et Cinq m’implorent du regard, mais je reste inflexible. Par contre, Quatre me défie, j’aime cela. Au bout d’une heure et demie, je réveille R qui prend la suite.
    
    * * *
    
    On vient de finir la lecture de cette première journée. C’est bizarre, car les photos des filles s’embrassant sont dans le carnet. La pellicule ...
    ... n’a pas été mise au feu ? J’attends la suite avec impatience. Je suis troublée, excitée par tout cela. Mon short est maintenant complètement trempé. Je vois que Victor se dandine à côté de moi, il bande et cela doit le gêner.
    
    — La vache, c’était hyperbandant tout ça.
    
    — T’es dégueulasse. Ca t’a plu que les filles se fassent traiter comme ça ?
    
    — Ouais et alors ? T’es une petite salope, toi aussi. Je vois bien ton short. Il est tout trempé. Ca te plaît de t’imaginer à la place des scouts ? Hein, avoue !
    
    Je ne dis rien. J’ai honte, mais j’ai aimé les imaginer tenues en laisse et fouettées. Je voudrais essayer un peu pour voir, mais je n’ose demander à Victor.
    
    — Oui, un peu. Mais j’aurais aussi pu être une fille à soumettre un garçon.
    
    Victor n’en peut plus, il n’arrête pas de se toucher le membre. Il tend l’oreille pour être sûr que personne ne monte. Puis il me dit :
    
    — Je veux me branler sinon mes couilles vont exploser.
    
    — Bah, ça va pas. On est cousin, tu vas pas faire ça devant moi !
    
    — Oh que si ! Et tu vas faire de même ma petite salope.
    
    J’aurais dû lui mettre une baffe, mais j’aime son ordre. Mais mon attentisme le fâche un peu, il s’approche de moi et me gifle. Ce n’est pas très fort, mais ça claque.
    
    — A poil, Six !
    
    Il me donne un numéro comme dans le carnet ! Il me traite comme une des chiennes de l’histoire. Cela me fait mouiller de honte et de perversion. Je me désape devant lui. Il me regarde faire et je commence à me toucher les seins ...