La lutte des classes (1)
Datte: 02/08/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... C’est toi qu’on voit sur les photos à couper le ruban lors de l’inauguration.
— Oui, c’est moi.
— Une bourge doublée d’une fille d’exploiteur de nos camarades.
On a vite fait de comprendre que ces pouffiasses sont toutes issues de familles d’industriels réputés. Des salopards qui s’en mettent plein les poches sur le dos des ouvriers. Ma haine envers elles grandit un peu plus. Quand elles ont compris sur qui elles étaient tombées, elles paniquent encore plus. Cela me plaît de les voir comme cela. Chef nous rassemble à part.
— Je voulais leur donner une bonne leçon et les laisser partir. Mais là, l’occasion est trop belle d’éduquer correctement ces traînées.
— Ah oui. Je suis pour, répond M. Surtout que lors du chantier, des ouvriers ont été gravement blessés. Ils n’ont toujours pas été pris en charge par les assurances de cette enflure.
— Et puis, vous vous rappelez comment elles ont traité le mec qui avait monté leurs affaires, ajoute R.
On est tous d’accord pour leur apprendre la dure vie des ouvriers. Mais B s’inquiète si après, elles ne vont pas appeler la gendarmerie. Chef a une idée qui me plaît bien. Il nous dit qu’on ne s’appellera que par notre initiale, et lui par "Chef". Il me demande d’aller chercher mon appareil photo. Nous revenons devant les filles.
— Bien, nous avons décidé de vous laisser repartir...
Il est tordu, Chef, de leur donner de faux espoirs, car une lueur éclaire leurs visages, mais de la terreur la remplace quand il ...
... finit sa phrase :
— ...lundi après vous avoir bien éduqué. Vous allez découvrir avec nous la camaraderie, le bon communisme et la difficulté d’un travail acharné. Comme dans vos entreprises, vos employés sont des numéros, vous en serez aussi pour nous. Un, Deux, Trois, Quatre, Cinq, désigne-t-il, tour à tour la cheftaine puis les filles.
— Mais vous n’avez pas le droit...
— Ta gueule !
Et Chef gifle la cheftaine. Par solidarité, nous balançons des baffes aux autres filles.
— Si l’une d’entre vous nous manque de respect, n’obéit pas ou tente de partir, vous serez toutes punies. C’est clair ?
Elles comprennent, vu leur tête, que nous ne rigolons pas. Elles acquiescent docilement.
— On va détacher vos mains et vous allez vous foutre à poil.
Deux veut se montrer récalcitrante, mais M lève la main et elle se tait. Nous sommes bien plus forts qu’elles. Elles ne peuvent que nous obéir. On délie les liens et l’on garde la bandoulière en main. B a l’idée de la régler pour en faire une laisse et la passe autour du cou de Cinq. Comme cela, elle est libre de ses mouvements, mais il la contrôle facilement en donnant un petit coup qui resserre la boucle sur sa gorge. Nous faisons comme lui. Elles se lèvent et commencent à ôter leurs vêtements. Je n’avais pas remarqué, mais leurs jupes sont assez courtes. J’aurais pensé que ces culs bénis auraient eu des jupes en dessous du genou. Non, là, elle est bien au-dessus. Quand je pose la question, la cheftaine répond que ces ...