1. Rue Queûwe curé. Légende 4.


    Datte: 02/08/2019, Catégories: A dormir debout, Auteur: Marisa marlux, Source: Hds

    ... que les différences avaient d’autres causes. Du moins pour les dames. C’était davantage le physique qui orientait les punitions.
    
    Comment se diversifiaient ces punitions ? Monsieur le curé aimât mettre certains et surtout certaines de ces paroissiennes complètement nus et nues. Il aimât aussi se produire en public, invitant quelques personnes de la haute société du village à assister à certains châtiments.
    
    Il souhaitât parfois se faire remplacer dans la punition. Quelques femmes reçurent alors comme châtiments de punir quelques hommes.
    
    Isabelle était la plus jolie fille du village. Et comme elle était jolie, elle « péchait » beaucoup avec de jeunes hommes… Et comme elle était jolie, monsieur le curé aimait particulièrement la voir à la confesse. Et comme elle était jolie, monsieur le curé aimait lui ordonner de se mettre nue. Et comme nue, elle était encore plus jolie, monsieur le curé aimait tourner et encore tourner autour d’elle pour en admirer tous les détails. Et comme elle avait le cul joli, monsieur le curé aimait lui claquer longuement les fesses. Et comme le cul rougi était tout aussi joli, il aimait le calmer en lui passant doucement la pommade apaisante sur les fesses. Et comme le spectacle était joli, il aimait glisser sa main entre les fesses, entre les cuisses. Et comme il était fier de ce qu’il produisait, il aimât inviter d’autres personnes à regarder avec lui. Mais comme elle était la plus jolie du village, il n’autorisa personne à la toucher, les ...
    ... notables se contentant de regarder, de bander dans leurs braies ou de mouiller leurs culottes.
    
    Comme il aimait plaire à ses notables, il punit Marinette et Thérèse, mais aussi Nicole et Antoinette, qui reçurent des fessées de la main de certains de ces bourgeois. Michel ou Etienne de même. Mais de la part de la femme du notaire, de la femme de l’instituteur, de la femme du docteur.
    
    Comme elle avait « fait des efforts » et commettait « moins de péchés », Isabelle eut la chance de parfois recevoir moins de fessées. Elle eut aussi l’occasion de proposer ces services pour punir l’un ou l’autre mâle du village. Elle choisit bien la garce. Les plus beaux, ceux qui l’avaient fait souffrir, ceux qui l’avaient snobée. Et elle aimait se retrouver avec l’un de ses hommes dans l’Eglise, accompagnée de Monsieur le curé. Monsieur le curé leurs demandait de se mettre nus. Les supplications pour que cela se passe sans la présence d’Isabelle étaient vaines. Et il se retrouvaient dans le plus simple appareil, à la merci de la jeune femme qui prenait d’abord son temps et admirait les corps bien fait de ses futures victimes. Il arrivait que ces corps soient moins bien faits, et le regard qu’elle dardait alors faisait comprendre à ces hommes combien elle se moquait de leur disgrâce. Puis les fessées commençaient à claquer… Et les hommes tortillaient du cul pour éviter les coups. Mais Isabelle était sans pitié. Parfois, les vits se dressaient. Isabelle le faisait remarquer à monsieur le curé, ...
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