1. Rue Queûwe curé. Légende 4.


    Datte: 02/08/2019, Catégories: A dormir debout, Auteur: Marisa marlux, Source: Hds

    ... heure de chapelet. C’était dégradant, mais cela restait cependant dans l’ordre de l’acceptable. Et puis, après cette mauvaise grosse heure passée, l’âme était lavée, et le cœur était à nouveau léger. Restait à affronter le regard des autres. Ce qui finalement n’était pas si difficile. Ces autres y étaient aussi passés, ou alors ils savaient que ça allait être leur tour. Petit à petit les pénitences ne furent plus que d’une seule sorte. Des fessées… ou des fessées. Ce furent les femmes qui résistèrent le plus longtemps, une pudeur bien légitime rendant difficile leur déshabillage. Mais quand elles se décidèrent enfin, ce fut bien de déshabillage dont il fut question. Si les premières purent garder leurs culottes, cela ne dura que peu de temps. Monsieur le curé exigea les fesses nues.
    
    Si l’une ou l’autre commença par refuser, la pression morale fut telle qu’elles finirent toutes par accepter. Et ce furent des culs nus, jeunes ou vieux, fermes ou gras, aimables ou antipathiques qui reçurent les taloches dites « divines ». Les femmes recevaient cependant habituellement moins de coups que les hommes, mais la prière qui s’en suivait durait le même temps avec la honte supplémentaire que le cul restait nu… Si dans les premiers temps, on parla sous cape de ces pratiques étranges, cela passa vite, et après quelques mois, les fessées de monsieur le curé faisaient partie de la vie du village.
    
    Monsieur le curé semblait dans un premier temps satisfait de son travail. Mais cela ne ...
    ... dura pas… La vie devenait trop banale. Les hommes ou les femmes venaient se confesser, ils et elles se déculottaient, recevaient les claques, priaient puis se reculottaient. Il fallait faire évoluer les châtiments. Ce furent les hommes qui subirent les premiers suppléments. Monsieur le curé leur demanda de baisser également le caleçon, les laissant la biroute à l’air, sous l’œil curieux de Jésus qui observait de sa croix. Les femmes qui, jusqu’à présent, ne dévoilaient que leurs postérieurs furent elles aussi contraintes de baisser leur culotte devant l’autel, monsieur le curé s’asseyant derrière elles face à leurs fesses, appréciant ce qui apparaissait au fur et à mesure que les vêtements glissaient. Jésus aussi était curieux. Certaines se demandèrent même si le bout de tissu qui ceinturait les hanches du crucifié n’avait pas l’un ou l’autre soubresaut. Mais cela aurait été un miracle… Monsieur le curé raffinait ses plaisirs. Il augmenta le nombre de fessées au cul de certaines femmes, se proposant ensuite, pour atténuer la douleur de leur passer un onguent qui calmait la douleur. Les femmes acceptaient à contre cœur mais serraient les fesses. Monsieur le curé leur demandait cependant de se détendre, et si la demande orale ne suffisait pas, quelques tapes supplémentaires finissaient de convaincre.
    
    Monsieur le curé devenait maître en la matière. Les pénitences se diversifiaient encore. On aurait pu croire que ce fut en fonction des péchés commis, mais il apparut à l’analyse ...
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