Les vacances de Julie (10)
Datte: 02/08/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: Anonyme, Source: Xstory
... de mon short. Je me suis enfoncé en elle lentement mais d’une traite, jusqu’à ce que mes couilles fassent tomber l’une des pinces accrochées à ses lèvres. Alors j’ai commencé à la sodomiser. Bestialement, les mains agrippées à ses hanches, les ongles plantés dans sa peau. Je savais qu’elle ne pouvait pas m’entendre, mais cela m’excitait de lui parler crûment. « Ma chienne aime quand on l’encule, hein ? C’est ça que tu voulais ! C’est ça que tu cherchais ! Tu voulais que je te casse le cul ? » Chacune de mes tirades était ponctuée par des claques sèches sur son fessier déjà meurtri.
Je n’ai pas tenu bien longtemps à ce régime. J’avais envie d’éjaculer depuis belle lurette déjà, et ce trou si confortable m’a achevé. Je me suis retiré en vitesse, laissant son orifice béant, l’ai contournée, et ai l’ai tirée par les cheveux pour pouvoir arroser son visage. Incapable de bouger, Julie a reçu mes jets de semence les uns après les autres, tandis que je grognais comme un animal sous l’effet de l’orgasme, sans penser que l’on pourrait être entendus. Puis, quand enfin l’orgasme est passé, tout est devenu plus calme. J’entendais vaguement, au loin, le groupe parler autour du feu, mais surtout, j’entendais la nature. L’eau de la rivière qui coulait à côté de nous, quelques cris d’insectes ou d’oiseaux nocturnes. Et puis il y avait la respiration de Julie.
J’ai commencé par couper la musique de ses oreilles. Puis j’ai retiré le bandeau de ses yeux. Du sperme coulait de son front ...
... jusqu’à se mêler à ses cils. Puis enfin j’ai retiré la boule de sa bouche. Sa respiration était saccadée, comme si, sous le choc, elle n’arrivait plus à respirer.
— Pardon Monsieur, m’a-t-elle dit en panique, je suis désolée.
— Désolée de quoi ?
— J’ai joui... Sans ta permission. J’ai joui trois fois.
— J’apprécie ton honnêteté. Ça ne t’épargnera pas la punition, mais on verra ça plus tard.
— Merci Monsieur. Merci pour tout.
Lentement, j’ai retiré toutes les pinces de ses seins et de son sexe, puis j’ai détaché ses mains. Enfin libre. Ou presque. J’ai laissé le collier et la laisse en place. Prenant garde à ne pas être vus, nous sommes retournés au bungalow, où j’ai pris une serviette pour la couvrir, et nous nous sommes dirigés vers les sanitaires.
— Quand est-ce que tu as joui ? lui ai-je demandé à travers la cloison alors qu’elle prenait sa douche.
— Euhm, et bien... une première fois avec ta main en moi. Et puis deux fois quand tu... quand tu me sodomisais. Deux fois très rapprochées, c’était peut-être même qu’une seule fois.
— N’essaie pas de te débiner, la punition sera la même.
Julie est sortie quelques minutes plus tard, propre, nettoyée de toutes traces, si ce n’est celles qui marquaient la peau de ses fesses, et qui ne partiraient que plus tard. Elle a alors passé une serviette autour de sa poitrine, et nous sommes rentrés dans notre cabane. On a fini ce qu’on avait commencé à faire, à savoir prendre l’apéro, puis nous sommes allés nous ...