Les vacances de Julie (10)
Datte: 02/08/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: Anonyme, Source: Xstory
... dents et attaché à l’arrière de son crâne.
— Et est-ce qu’un jouet a besoin d’entendre ?
Pas de réponse cette fois-ci, bien sûr. J’ai sorti de ma poche mes écouteurs Bluetooth, que j’ai installé dans ses oreilles. Sur mon téléphone, j’ai choisi une playlist de musique classique. Quelque chose de doux à entendre. A l’inverse de ce que son corps allait ressentir.
Désormais elle était toute à moi. Entièrement. Incapable de ressentir autre chose que ce que je déciderais de lui faire subir. Je l’ai regardée un instant, comme j’aimais le faire. Elle était belle, mais semblait tendue. Qui ne le serait pas à sa place ? Du bout du doigt, j’ai touché son corps, et l’ai sentie frémir. Privée de la vue, de l’ouïe et de la parole, le sens du touché était ainsi exacerbé. Et je ne peux le nier, cela m’amusait et m’excitait beaucoup. Alors j’ai baladé mon doigt sur tout son corps, dans le creux de ses reins, à l’intérieur de ses cuisses, dans le pli de ses fesses. Julie tremblait à chaque fois. J’ai complété sa tenue par son collier de chienne, et la laisse qui allait avec. Puis je me suis assis, ai tiré la laisse vers moi, et ai installé Julie à plat ventre, en travers de mes cuisses.
J’ai commencé à claquer doucement ses fesses, à travers son mini-short bleu turquoise. Dix petites claques, à peine plus fortes qu’une caresse. Puis j’ai attrapé l’élastique du short, et je l’ai baissé, juste sous son cul. Je l’ai claquée à nouveau, un peu plus fort. Progressivement, je sentais sa ...
... peau chauffer, et s’il y avait eu assez de lumière sur la terrasse, j’aurais sûrement vu sa peau rosir également. Julie était réduite au silence par la boule dans sa bouche, mais je l’entendais grogner, ou gémir, je ne savais pas trop. J’ai alors glissé un doigt entre ses cuisses. Elle dégoulinait. Je l’ai doigtée un instant, deux doigts allant lentement mais profondément en elle. Cette fois, elle gémissait. J’ai recommencé à claquer son derrière, encore un peu plus fort. Et j’ai à nouveau glissé mes doigts en elle. Deux dans sa chatte et un dans son cul. L’alternance de douleur et de plaisir a ainsi duré presque dix minutes. Jusqu’à ce que j’arrête de la fesser, mais continue d’enfoncer mes doigts en elle. Elle était tellement trempée que je n’ai eu aucun mal à rentrer quatre doigts au fond de son vagin. Quand il a fallu enfoncer le pouce, j’ai dû forcer un peu plus, et Julie a grogné de plus belle, mais j’y suis arrivé. J’ai enfoncé ma main entière dans sa chatte. Julie pouvait s’estimer heureuse, je n’avais pas une main de bûcheron. Au contraire, elle était plutôt fine. Cela ne l’a pas empêchée de crier à travers son bâillon lorsque j’ai commencé à faire aller ma main lentement en elle. Elle n’arrêtait pas de remuer, comme si cela lui permettrait de se délivrer de mon emprise. Mais ce soir elle était mienne, et je n’en avais pas encore fini.
Je me suis imaginé quelqu’un qui viendrait de notre côté du bungalow, pour je ne sais quelle raison. Cette personne y trouverait ...