1. Les vacances de Julie (10)


    Datte: 02/08/2019, Catégories: Trash, Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    Julie est revenue des sanitaires un quart d’heure plus tard. Elle a posé mon short mouillé sur le fil à linge, à côté de la terrasse, et s’est assise à côté de moi. Je n’avais pas bougé. J’étais resté à table, à admirer la vue, et à réfléchir à tout ce que je voulais faire à ma jolie chienne. La pipe violente que je lui avais fait subir ne m’avait pas calmé, c’était tout le contraire. J’en voulais encore plus. Je l’ai dévisagée un instant, en buvant une gorgée de vin. Elle n’avait pas touché à son visage, la bave commençait à sécher, mais elle restait ravagée.
    
    — Tu as croisé quelqu’un ? ai-je demandé.
    
    — Quelques personnes, oui, mais c’est pas bien éclairé, je pense pas qu’ils m’aient vue.
    
    — Tant pis.
    
    J’ai vu son petit sourire en coin. Elle jouait la fillette terrorisée, et elle le jouait bien, mais je commençais à la connaître. Je savais qu’il lui en fallait plus que ça.
    
    — Lève toi et viens me voir, lui ai-je dis.
    
    Cette fois, elle a perdu son sourire. La dernière fois que je lui avais dit ça, elle avait fini avec mon membre au fond de sa gorge, à se vomir à moitié dessus. Docile, elle s’est tout de même exécutée. Une fois à côté de moi, ma main a immédiatement glissé dans son mini-short.
    
    — C’est bien ce que je pensais, ai-je dis en titillant l’entrée de son sexe détrempé. Tu mouilles comme une chienne.
    
    — Votre chienne, Monsieur.
    
    J’ai souri et pincé sa lèvre, avant d’enfoncer deux doigts en elle. Julie s’est mise à gémir. J’ai enfoncé un troisième ...
    ... doigt, et elle s’est mise à grogner. Elle était tellement trempée que j’aurais pu y enfoncer un quatrième, au lieu de quoi je les ai tous retirés, et les lui ai fait lécher.
    
    — Bien, maintenant va à la voiture, et tu vas me chercher le petit sac de sport que j’ai laissé dans le coffre.
    
    — Oui Monsieur.
    
    Quelques minutes plus tard, j’ouvrais le sac qu’elle avait posé sur la table, et en sortais divers objets. Des cordes, des pinces, des sextoys... Pas grand chose, par rapport à ce que je pouvais avoir chez moi, mais disons qu’il s’agissait d’un nécessaire de voyage. Julie a eu l’air étonnée en me voyant déballer tout ça. Comme si j’allais partir en vacances avec elle sans être bien préparé.
    
    — Viens ici, lui ai-je dit en fouillant dans mes affaires. Comme je t’ai dit, ce soir tu es mon jouet. Oui je sais, avant que tu me le dises, tu l’es vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Mais ce soir encore plus. Est-ce qu’un jouet utilise ses mains ?
    
    — Euh, non Monsieur, a-t-elle répondu un peu surprise par la question.
    
    Je lui ai alors attaché les mains dans le dos avec des bracelets en cuir noir, reliés entre eux par une courte chaîne.
    
    — Est-ce qu’un jouet a besoin de voir ?
    
    — Non Monsieur.
    
    J’ai fais passé un masque sur ses yeux, comme ceux que l’on porte en avion, mais en cuir, plus opaque, plus difficile à enlever.
    
    — Est-ce qu’un jouet a besoin de parler ?
    
    — Euh... Non. Non Monsieur.
    
    Cette fois-ci c’est un bâillon-boule noir que j’ai glissé entre ses ...
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