1. Ténor du barreau


    Datte: 28/08/2025, Catégories: fh, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, pénétratio, couple, Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe

    ... s’étaient retrouvés seuls, Julien avait assez rapidement interrompu leurs effusions enfiévrées.
    
    — Écoute-moi : d’abord, je veux te dire que si Marie a de tout temps été mon prénom préféré, symbole pour moi de douceur infinie, le prononcer désormais me ramènera inévitablement à l’autre cinglée. Tu n’aimes pas Marinette ? Désuet, vieillot ? Moi, j’adore ! Et je t’aime Marinette ! Je t’aime ma nénette d’amour !
    
    Cette déclaration fait fondre sa compagne qui l’embrasse à pleine bouche.
    
    — Tout doux, Ninette, écoute-moi encore. J’ai terriblement, furieusement, désespérément envie de toi, mais je suis exténué, lessivé, tu n’imagines pas à quel point. Je ne voudrais pas rater nos retrouvailles, expédier à la va-vite notre premier corps à corps. Je suis sale, Marinette, je suis gris, je pue la tôle et le graillon, j’ai besoin de me laver, de me récurer, et surtout, surtout, de dormir. Dormir de tout mon soûl pour tourner la page…
    
    Marinette avait compris. Sous la douche, elle avait savonné son homme, de la tête aux pieds, passant rapidement sur son sexe en érection pourtant. Elle avait usé du gant de crin à sa demande, récurant son dos, ses jambes, son corps. Après, sur le lit, elle lui avait caressé le front, mais le temps d’y déposer un chaste baiser, Julien s’était déjà endormi.
    
    oooOOOooo
    
    Lorsqu’il s’éveille peu après 10 heures le lendemain, il est seul dans le lit. Il lui faut un sacré moment avant de réaliser où il se trouve. Après quelques instants de panique ...
    ... ahurie, il bondit hors de la chambre, passe par la salle de bains pour quelques ablutions – il veut être nickel pour sa belle – se recoiffe, puis, nu, affichant une érection formidable, il file vers la cuisine ou un méga brunch est servi sur la table-bar. Marinette, sourire aux lèvres, épanouie de bonheur, impatiente, lui fait face. Elle porte un baby-doll noir et diaphane dont les pans entrouverts ne cachent rien de son sexe épilé surmonté d’un fin ticket de métro.
    
    Debout, les deux amants s’étreignent passionnément, furieusement. Leurs bouches collées semblent ne jamais vouloir se séparer tant leurs lèvres sont soudées. Leurs langues se mêlent et s’emmêlent, leurs souffles s’additionnent. Ils sont faim-fous l’un de l’autre, ils s’enivrent de leur passion, se saoulent de leur impatience commune.
    
    Quand enfin ils reprennent leurs souffles, Julien repousse du bras les tasses, pots de confiture et autres gourmandises du petit-déj, saisit sa belle aux hanches, la soulève sans effort et l’assoit sur le bord de la table haute. Marinette se renverse en arrière, s’appuyant sur ses bras tendus derrière elle. Cette position propulse ses seins effrontés en avant. Une bouche avide s’empare de son sein gauche, des lèvres gourmandes engloutissent son téton grenu, l’asticotent, le pompent allègrement. Une langue maligne tournicote sur le bonbon durci de son tétin, le mâchouille gentiment, amoureusement pendant qu’une main légère flatte les courbes de l’autre néné.
    
    Hier soir, son chéri ...
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