Le journal érotique de Maud (4)
Datte: 28/08/2025,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
... et de ce point de vue, Magali et moi, nous leur avons rendu hommage. Ils nous avaient magnifiquement servies. On n'en demandait pas plus.
Après, on est allées toutes les deux jusqu'à la plage proche pour un bain de minuit qui avait surtout pour but de se laver un peu de la sueur de l'amour. L'eau était plus que fraiche mais elle nous a fait du bien. Et on s'est couchées dans nos duvets dans le plus grand calme. Nos tourtereaux s'étaient calmés. Mais le lendemain, ils ont dû frapper à la tente pour nous réveiller. Et le réveil fut un peu dur. Et le vélo encore plus. A croire que ce n'est plus de notre âge, ces fredaines...
SamediVoilà, c'est fini. On a rendu nos vélos, fais nos bagages et bouclé la boucle. On s'est fait la bise avec les autres randonneurs. J'ai retrouvé ma voiture et lundi, je reprends le boulot. Sacrées vacances ! Nettement meilleures que l'an dernier. Et d'autant plus regrettées. Les deux dernières journées ont été un peu dures sur la bécane. Les deux marins m'avaient un peu mâchée, mais c'était pour la bonne cause. Magali m'a épatée. Elle pédalait comme si de rien n'était. Quelle femme ! Ce que je retiens de ces vacances en priorité, c'est que je me suis fait ...
... avec elle et Coralie deux bonnes copines... de cul. C'était très inattendu au départ. Magali m'a laissé son numéro de portable, comme Coralie. Elle veut absolument me revoir. "Grâce à toi, j'ai brisé un mur", me répète-t-elle. Elle m'a dit avoir pris le plus grand panard de sa vie en baisant dans le bateau en ma compagnie et celle des deux marins. Elle veut absolument remettre ça, la baise à quatre. Mais pourra-t-on trouver d'autres circonstances aussi favorables ? Peu probable. Les amitiés de vacances sont comme les amours : éphémères. Je suis lucide. Elle me répond qu'on pourrait se retrouver avec Coralie l'an prochain à la même époque. Ce serait sûrement très chaud mais on verra dans un an.
En tout cas, quand je repense à notre partie de cul dans le bateau, j'ai encore des frémissements dans la culotte. Avec Magali, nous avons mélangé nos cris de plaisir, nos regards extasiés, nos mots du cul. Elle s'est vraiment lâchée, la podologue. Je ne sais pas combien de fois j'ai entendu le mot bite dans sa bouche. Avant de se quitter, elle m'a fait une pédicurie gratos, comme un témoignage d'amitié. On va s'appeler au début, c'est sûr, pour nous rappeler nos bons moments. Après, qui sait ?