Le journal érotique de Maud (4)
Datte: 28/08/2025,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
... aller se coucher, mais Magali et moi, on a décidé de rester. Evidemment, deux femmes seules, ça attire vite l'attention. Deux types sont venus nous baratiner : un costaud d'une cinquantaine d'années, barbu et chevelu, très loup de mer, et un plus jeune, mince et tatoué, yeux bleus et tête rasée. Pas vraiment des gravures de mode mais sympas. Ils occupaient un bateau à quai. Magali me jetait des regards en coin, un sourire aux lèvres. Ils n'ont pas tardé à comprendre qu'on était open. Ils nous ont proposé de visiter leur embarcation dont ils étaient fiers. Profitant d'un intermède où ils étaient allés chercher à boire au bar, Magali m'a dit à l'oreille :- Qu'est-ce qu'on fait ? On y va ?
- Si on y va, on va passer à la casserole. Mais bon, pourquoi pas ? Ils doivent assurer, ces deux-là.
- Je prends le barbu, tu prends le tatoué, ça te va ?
Oui, ça m'allait. Il fallait qu'on soit logique. On avait envie toutes les deux de se faire mettre et c'était l'occasion.
Un peu pompettes après toutes ces bières, et après être allées pisser aux WC du bistrot, on a mis le cap sur le port. Les deux gars rigolaient, sûrs de leur fait. Ils avaient mis le grappin sur deux salopes. De fait, le bateau est très joli, un quillard monocoque avec une cabine un peu spartiate avec deux couchettes face à face. On a joué les admiratives jusqu'au moment où le barbu, prénommé Loïc, a pris le visage de Magali dans ses mains et l'a embrassée. L'autre, Erwan, m'a enlacée par derrière et m'a fait ...
... sentir sa bite érigée contre mon dos.
Après, tout s'est enchainé. Je passe sur les détails préliminaires. On s'est retrouvées Magali et moi à poil sur les couchettes et les deux gars nous ont baisées comme on l'attendait : virilement, sans concession. L'exiguïté des lieux provoqua des situations assez comiques. J'avais parfois le nez sur le cul poilu de Loïc en train de fouiller Magali pendant que je me faisais du bien sur la queue d'Erwan, aussi épaisse que celle de Jules une semaine plus tôt. Le pied nu de Magali m'a heurté la joue et je me suis moi-même trouvé nez à nez avec elle pendant qu'on se faisait prendre l'une et l'autre en levrette, au point de mélanger nos haleines. Nous nous découvrions en train de baiser, elle et moi, dans cette totale promiscuité d'une cabine de bateau. Et ça crée forcément des liens. On a eu la chance de tomber sur des gars endurants qui nous ont permis d'accumuler les orgasmes. Magali les avait sonores et crus, ce qui excitait les deux mecs. Erwan a voulu la baiser et je me suis retrouvée en train de chevaucher le barbu que je sentais au bord de l'explosion. Je ne sais plus qui a joui en premier, moi, Loïc, Magali ou Erwan mais ça a été dans la cabine un charivari qui a dû s'entendre jusque sur les quais.
- Eh ben, vous êtes de sacrées affaires, a fini par dire Loïc à notre propos.
Il est vrai que nous étions dans le besoin après avoir entendu copuler tous ces jeunes couples en se branlant le minou. Mais rien ne vaut une bonne bite ...