Le journal érotique de Maud (4)
Datte: 28/08/2025,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
Dimanche
Après une journée de route à travers les routes encombrées d'un jour de grand départ, me voici arrivée au camp de base des randonnées cyclistes dans un coin de Bretagne. Dès le lendemain du voyage, en selle ! Le principe est le suivant : on part d'un point A vers un point B où nous attend les tentes plantées par l'organisation. Les randonnées font entre 60 et 80 km, près des côtes ou à l'intérieur des terres. Heureusement, j'ai l'habitude de pédaler mais en ville. Sur des routes, c'est différent et j'ai un peu mal aux fesses ce soir. A la chatte un peu aussi mais c'est plus dû à mon avis aux multiples séances de baise de la semaine précédente et au gros chibre du poilu. Elle est du reste restée assez sensible et le frottement de la selle a réveillé quelques désirs en cours de route...
De ce point de vue, le petit groupe dont je fais partie recèle moins de virtualités. Il y a deux jeunes couples plus celui de nos guides, Ronan et Gwenaëlle, Bretons pur porc, la vingtaine. Nous ne sommes que deux "célibataires" :et les plus âgées, moi-même et Magali, une quinqua pétulante, petit format, divorcée et très sympa. C'est avec elle que je partage ma tente et on a déjà pas mal discuté. Elle est une fervente de vélo, de gym et de marche à pied. Le pied, elle connait puisqu'elle est podologue. Comme elle n'est pas du genre bégueule, je lui ai raconté ma semaine précédente, en omettant quelques détails, notamment la partouze derrière la plage. Mais je ne lui ai pas caché ...
... que j'avais pas mal baisé. "Tu as de la chance, ça fait un bail que je n'ai pas baisé, mon amant habituel est en petite forme en ce moment", m'a-t-elle avoué. J'en conclus qu'après Coralie, j'ai peut-être trouvé une copine de cul avec dix ans de plus. Sauf qu'il n'y a rien à consommer sur place et on n'arrête pas de bouger.
Le problème, c'est que le contexte ne fait rien pour nous calmer, en plus du frottement de la selle sur notre minou. La nuit, on entend les deux jeunes couples forniquer dans les tentes voisines. Même nos guides s'y mettent. Ce sont des gémissements de filles qui se répondent en écho. Et nous deux, Magali et moi, on est comme deux connes dans nos duvets. On se branle en les écoutant mais on ne gouine pas. Elle est aussi hétéro que moi. On commente leurs ébats en rigolant tout en se touchant : "tu crois qu'il la prend comment ? Par derrière ou par devant ? A moins qu'elle soit sur lui." Elle a fini par m'avouer en parlant un langage très vert, car j'ai fini par l'exciter avec mes récits de la semaine dernière et elle se lâche : "ça ne peut pas durer tout le temps, il va falloir trouver deux bites". Je suis bien d'accord. Mais quand ?
JeudiAvant-hier soir , on faisait étape dans un petit port, mignon comme tout, très breton. Nos tentes n'étaient pas loin du quai et on est tous allés à pied dans le bistrot du coin pour boire un verre après dîner. Il y avait là pas mal de marins, généralement des plaisanciers. Au bout d'un moment, les autres ont voulu ...