Où Marie se présente
Datte: 25/08/2025,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
jeunes,
bain,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... vaut la peine de se priver d’un avis « impartial ». Ma fille m’éclabousse, je lui rends la pareille, nous rions et nous taquinons sans plus porter attention au dilemme qui préoccupe Marie. Le bassin n’est pas profond, mais suffisant pour s’y plonger entière et bénéficier de la froideur relative qui vous enveloppe. Je résiste à une furieuse envie de me débarrasser de la culotte pour en profiter pleinement sur ma chatte. J’émerge en chassant cette idée trop tentante.
Manon est déjà sortie. Elle lit, allongée sur le ventre au soleil, loin du bassin. Elle a dénoué le peu qui reste de son maillot, histoire de se bronzer les fesses. Je suis presque jalouse de sa chance, alors que moi, je m’oblige à rester décente. J’en soupire tout en promenant les yeux alentour. Marie n’a pas quitté son fauteuil, elle m’observe avec insistance, les mains sur ses bonnets. Je lis une sorte d’inquiétude dans son regard. Que lui arrive-t-il ? Je sors à mon tour et me dirige vers elle.
— J’espère que tu ne t’ennuies pas trop, lui souris-je.
— Je voulais vous demander, répond-elle à mi-voix. Qu’est-ce que vous en pensez ?
Et tout de go, comme par crainte, sinon, de ne pas oser, elle me dévoile sa poitrine. Elle est rougissante de son audace. Je reste un instant figée par la surprise, puis je m’accroupis près d’elle, le visage aussi neutre et sérieux que je puis.
— Eh bien, je vais te dire. Laisse-moi le temps de voir. Tu veux bien croiser tes mains sur la nuque ? Ce sera mieux.
Ses ...
... seins sont ronds – tout est rondeur chez elle – et leur blancheur tranche sur le bronzage du buste. Leurs jolis globes pleins sont surmontés de larges mamelons que terminent des tétons longs et épais. Deux fraises oblongues, posées au sommet des sphères comme deux cerises sur des gâteaux sucrés. On distingue mal l’aréole du mamelon, mais l’ensemble n’est pas tombant du tout.
— Si tu veux la vérité, dis-je sur un ton impassible qui la fait trembler, le plus disgracieux… ce sont les marques de maillot ! Sinon, j’avais raison : tu as une très belle poitrine, ma puce.
Les larmes qui montaient déjà se résorbent, mais elle n’est pas convaincue. Elle insiste.
— C’est vrai ? Elle n’est pas trop grosse ?
— Mais non ! Elle est parfaite ! Tu peux en être fière, elle doit être agréable à caresser.
Elle se redresse à demi. J’ai l’impression qu’elle va me sauter au cou pour me remercier. Il suffit d’esquisser le geste d’ouvrir mes bras pour que cette pulsion se libère. Elle s’agrippe à ma nuque et me déséquilibre. Nous tombons à genoux et elle m’étreint passionnément. Nos seins s’écrasent sans qu’elle y prenne garde. Elle enfouit sa tête dans mon cou avec fougue.
— Merci Chantal ! Oh ! Merci, merci, répète-t-elle sans fin contre mon oreille.
Sa spontanéité m’émeut. Je tapote ses épaules en murmurant des mots gentils. Ses tétons qui durcissent contre ma poitrine lui rappellent brusquement l’intimité de notre accolade.
— Pardon, je… Pardon, bafouille-t-elle.
— C’est ...