Où Marie se présente
Datte: 25/08/2025,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
jeunes,
bain,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... nous nous caressons au téléphone en évoquant des souvenirs et en nous promettant de nous retrouver. J’applique toujours sa maxime qui veut qu’un orgasme au réveil tienne le sexe en éveil. Et je me masturbe régulièrement.
Je laisse aller mes rêves sur les images du sourire de Colette, de ses seins, de sa chatte, de l’épilation d’Anaïs, de la mienne, des pinces sur mes lèvres, du martinet sur celles de Colette, des yeux d’Anaïs détaillant mon intimité, de son mignon corps pudique, de sa culotte oubliée, et du regard de l’amie de ma fille lorsqu’elles m’ont surprise nue, en flagrant délit d’onanisme sur ma terrasse… (Comment se prénommait t’elle déjà ? Ah oui : Marie !)
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— Maman ? Puisqu’on va rester seules pendant près d’un mois, tu voudrais bien que j’invite une copine pour quelques jours ?
Et voilà ! Il n’y a pas vingt-quatre heures que mon époux est parti exercer ses indispensables compétences en formation dans un pays lointain. Ma progéniture s’inquiéterait-elle de devoir passer ses vacances avec sa vieille mère ? Ce serait vexant. Je feins la somnolence en grommelant un vague « Hummm ? » qui n’engage à rien.
Nous prenons le soleil de midi dans le jardin, sous le frêle ombrage d’un arbuste chétif que l’on m’avait vendu pour un prunier. Nous traînons notre indolence dans l’herbe rase à côté de la mare bétonnée, pompeusement nommée piscine. Bien suffisante pour se rafraîchir quand on est lassé de s’asperger avec le tuyau d’arrosage ...
... !
Je suis en monokini. Il y a belle lurette que ma fille ne s’offusque plus que j’expose mes seins à d’éventuelles voisines indiscrètes. D’ailleurs, me croyant trop endormie pour lui répondre favorablement, elle vient de m’imiter. Je l’observe, les paupières mi-closes. Sa poitrine pointe fièrement vers le ciel. La comparaison n’est pas à mon avantage ! Un coup d’œil vers moi, un soupir dépité, elle se lève et s’approche de la « piscine ». Nouveau regard, je n’ai pas bougé. Un haussement d’épaule, elle fait mine de quitter le bas, se ravise et se glisse dans l’eau.
Elle est bien faite, la chair de ma chair, petits seins, petit cul, longues cuisses, taille étroite, jolie silhouette. Je tâte ma poitrine, lourde, mon ventre, rond. Ouais… Comment étais-je à son âge ? Moins grande, plus boulotte, on disait « la grosse Chantal » quand on voulait me taquiner, les copines surtout. Elle est plus belle que je ne l’étais, elle me fait penser à … Anaïs ! Oui, Anaïs.
Ah, Anaïs… Son souvenir n’était pas revenu me visiter depuis quelques jours, mon regret de ne pas avoir osé respirer son odeur à même sa fourche non plus. Je ferme les paupières pour de bon. Mes images favorites défilent.
Ma main est restée sur mon sein, elle bouge seule autour du mamelon. Je revois la figure mutine et timide qui me fixait, les grands yeux étonnés et brillants qui nous observaient, Colette et moi… L’autre main descend insensiblement sur mes hanches. Les attaches du maillot l’arrêtent et l’incitent à les ...