Le plaisir comme thérapie
Datte: 22/08/2025,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fplusag,
voisins,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
couplea3,
lesbos,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... félicité.
— Oh, Magali, si tu savais ce que j’ai aimé… Tu m’as prise là où j’étais sûre de ne jamais ressentir que de la peur, de la douleur, mais tu es si douce, si tendre… si… si…
— … si amoureuse, ma belle, on ne peut oser des choses aussi intimes que si on aime… Et tu sais bien que tu me fais craquer complètement, tu es tout ce que je n’ai jamais été, tu es belle comme le jour, câline, et tu fais l’amour comme je ne savais pas que cela puisse exister. J’ai tout le temps envie de toi, ma Séverine, je n’arrive pas à me contrôler, c’est terrible. À quarante-quatre ans, je dévergonde une gamine de vingt-huit, je vais finir au tribunal.
— Mais ne te contrôle surtout pas, ma gourdasse adorée, laisse-toi aller à tes envies qui ressemblent souvent aux miennes, si on lutte contre ce sera pire, et s’il le faut je l’expliquerai aussi au juge(éclat de rire de Séverine). Julien doit bien comprendre, lui aussi, que tu n’es pas un plan cul du week-end, et tu vas m’aider à le lui expliquer, madame l’Experte, parce que je te jure, grande gourmande, qu’il n’y a pas qu’en comptabilité que tu es une experte. Embrasse-moi, mon amour…
Les yeux humides, le cœur en surrégime, j’enlace ma voisine chérie et l’embrasse lascivement, voulant maintenir l’érotisme du moment, désirant secrètement que Séverine me fasse l’amour là, tout de suite, dans son grand lit, qu’elle me déshabille, qu’elle…
— Enlève ta nuisette, Magali, j’ai envie de voir tes seins.
Prenant tout mon temps, je me ...
... fais aguicheuse, me tortille comme une pucelle effarouchée, minaudant que j’ai peur de me montrer nue. Couvant ma proie d’un regard libidineux, je laisse une bretelle de soie glisser de côté, puis l’autre, ma tenue de nuit simplement retenue par ma poitrine gonflée, semblant suspendue à mes pointes de seins prêtes à déchirer le tissu. Séverine tire alors vers le bas le dernier ersatz de ma pudeur, mes seins jaillissent, fiers, réclamant leur dû.
La langue incandescente qui les assaille aussitôt réveille chez moi de coupables émois, mais je plaide coupable et persiste dans ma débauche d’émotions, la seule qui, une fois son apogée atteint, une fois la plénitude des sens satisfaite, me permet de redescendre parmi mes congénères et de mener une existence acceptable.
Pour le moment, des lèvres friponnes torturent mes bouts, embrassent ma gorge, une main libertine s’introduit dans ma culotte, et on me murmure des mots pleins de volupté, emplis de délicieuses promesses…
— Tu préfères que je caresse encore tes gros seins, ou que je te débarrasse de la serpillière poisseuse que tu portes entre tes cuisses, ma belle débauchée ?
— Déshabille-moi, petite peste, mets-moi la chatte et le cul à l’air !
Séverine me retourne sur le dos et fait glisser mon shorty sur mes cuisses, mes mollets, et enfin mes pieds qu’elle embrasse au passage, me procurant une poussée d’hormones qui me fait soupirer. Licencieuse comme jamais, ma voisine brandit mon sous-vêtement informe, me traitant de ...