Le plaisir comme thérapie
Datte: 22/08/2025,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fplusag,
voisins,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
couplea3,
lesbos,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... incoercibles j’inonde ma pauvre culotte, manquant de jouir.
Reprenant mes esprits, j’embrasse les fesses de Sév, les caresse, mon doigt toujours enserré par son orifice le plus étroit. Je n’arrive plus à parler, mon corps est sous l’emprise du désir, je parviens juste à prononcer son prénom.
— Oh Séverine…
—(Dans un souffle puissant) Prends-moi, mon amour, prends-moi entièrement !
N’y tenant plus, mais voulant préserver ma soumise, je laisse couler abondamment ma salive sur mon doigt et, centimètre par centimètre, l’enfonce entre les fesses grandes ouvertes. Mon majeur, lui, a remonté le flux de mouille et pénètre la chatte toute lisse qui l’accueille. Séverine étouffe ses cris de plaisir en cachant son visage dans l’oreiller, tout bascule.
Mes deux doigts entièrement absorbés par les intimités de ma petite jouisseuse, je leur imprime un lent et souple mouvement d’avant en arrière, sans aucune résistance, ce qui m’incite à augmenter le rythme de cette double pénétration dont la seule vue me transporte sans prévenir sur la crête d’un orgasme brutal, souillant encore davantage mes dessous de cougar.
Pantelante, je dois interrompre un tout petit moment la défloration de ma belle à qui mon orgasme n’a pas échappé et qui me crie, presque hystérique :
— Non, Magali, ne m’abandonne pas, je veux jouir aussi, branle-moi encore, plus fort, sois salope, Magali, vas-y, doigte-moi le cul ! Maintenant ! Viens en moi, vite… !
Pas encore repue de jouissance, je me ...
... lance dans une démentielle triple masturbation, sans plus chercher ni douceur ni tendresse, je branle Séverine à fond, ma main butant à chaque fois sur son périnée tellement je m’introduis profond dans ses conduits intimes, en même temps que, mon autre main dans mon shorty, je malmène mon clitoris et mes nymphes ruisselantes.
Séverine crie, hurle quand je m’enfonce en elle, me dit des choses très crues, se caresse, elle aussi, sans retenue jusqu’à connaître un plaisir fulgurant, qui l’envahit entièrement, la terrasse, la rendant incapable de parler de manière intelligible. Je la suis de très près dans l’orgasme, moins fort chez moi, puisque trop rapproché du précédent. Apaisée, j’extrais de mon entrecuisse mes doigts poisseux, odorants, et, sans prévenir, les pose sur les lèvres de Séverine qui se met à les sucer goulûment.
— Tu sens ce que tu as fait de moi, ma cochonne ? Tu sens mon plaisir sur tes lèvres ? Tu aimes ? Tout ça pour ton adorable cul, ma petite chérie, il est magnifique, divin, éblouissant, il m’a fait jouir deux fois, tu me fais perdre la tête ma Séverine, tu es irrésistible.
Je reste un moment allongée sur le corps de ma chérie, la serrant dans mes bras, ma petite crevasse ne pouvant retenir le flux de mon plaisir, celui-ci s’écoule mollement sur l’affriolant fessier que je viens de déguster en épicurienne des sens, je suis bien. La vie me sourit, enfin.
On ne se dit rien, les mots ne sauraient être à même de raconter cet instant d’absolue ...