Le plaisir comme thérapie - Histoires de Sexe

Le plaisir comme thérapie

... culotte qui habille tes fesses sculpturales, te peloter le cul comme une vulgaire gouine de soirée gay en manque de sexe, sentir ta croupe se contracter sous mes mains. Tu permets que je te fasse ça, petite délurée ?
— Oui, Magali, oui, continue, j’aime quand tu me parles de mon corps comme ça…
— On parle de Rome et de ses sept collines, mais moi, ma mouilleuse, je préfère tes deux collines de soie, celles dont la peau va bientôt frémir sous ma langue, celles que sépare une vallée profonde où j’ai envie de me perdre… mais ta culotte m’empêche de réaliser mes fantasmes, ma jolie, tu sens mes doigts qui te touchent à travers le tissu ? Oh, mais le gousset est déjà tout humide, tu voudrais que je m’en occupe ? Dis-le-moi, petite vicieuse, ne fais pas ta timide…
— Enlève-la, je veux ta bouche sur moi, vite !

Pour faire languir mon impatiente, je promène mes lèvres au bas de son dos, mes mains glissant sur l’affolante dépression de sa sublime chute de reins avant que ma bouche se pose sur ses fesses. Je les mordille, les embrasse sur la culotte, y promène ma langue, en savoure le parfum grisant et voluptueux qui s’en dégage avant que mes doigts ne saisissent enfin le bord du sous-vêtement.

— Les chutes du Niagara, Séverine, ne sont rien à côté de ta chute de reins, cette chute qui conduit à ton cul de princesse, à celui qui me fait tacher mes dessous dès que j’y pense. Tu n’as pas honte de me mettre dans cet état ? Tu sens la femelle en rut, petite nympho. Ça m’excite, ...

... ton shorty n’est plus présentable, tu sens comme il est trempé de ton jus ? Oh… on dirait même que tu as coulé jusqu’à ta rosette !

Pour exciter davantage ma si jolie voisine, je passe un doigt entre ses fesses et appuie, pour que la soie humide entre en contact avec son petit anneau culier. Séverine se cambre, sa croupe se tend à la rencontre de mon doigt, elle gémit sans relâche alors j’en profite pour glisser sous son ventre les deux gros oreillers du lit.

— Oui, je le sens, Magali, c’est fort, tu vas me faire jouir avec tes mots, ma garce, tu es une terrible perverse, mais ne t’arrête pas, excite-moi encore !

Lentement, je la débarrasse de son sous-vêtement et lui fais écarter les jambes, je coule moi aussi de manière totalement incontrôlée en contemplant les formes de ma belle, ouverte, impudique, mais d’une sensualité unique, d’une beauté sans artifice, elle me plaît vraiment, cette gamine.

— J’aimerais te photographier comme ça, petite roulure, le cul en l’air en présence d’une honorable mère de famille envoûtée par tes charmes, et le soir je me toucherais en regardant la photo, je giclerais dessus dans un puissant orgasme. Tu serais fière que je me touche pour toi ? Que tu me fasses jouir à distance ?
— Arrête, Magali, arrête, je suis au bord de l’explosion…
— Enlève tes mains de ton ventre, petite branleuse, c’est ta salope de voisine qui va s’en occuper de ta cramouille, mais pas tout de suite… patience, ma jolie, patience…

Moi aussi dans un état ...