Le plaisir comme thérapie
Datte: 22/08/2025,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fplusag,
voisins,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
couplea3,
lesbos,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... tant que ça, mon derrière de prof ?
— Oh oui, ma chérie, très sérieuse et même maintenant… très mouillée rien que d’y penser tellement il me plaît ! Tu ne me crois pas ?
Je saisis la main de ma voisine et la glisse sous ma nuisette, la plaquant sur ma culotte déjà bien humide, incapable de contrôler mon excitation née des évocations du fessier de Séverine.
— Quelle dévergondée tu fais ! Une mère de famille respectable qui mouille sa culotte en matant les fesses de son innocente jeune voisine, mais c’est du vice !
— Innocente… innocente, on pourrait en discuter, madame la professeure.
— Oh, vilaine médisante, et la prude Magali alors, celle qui rougissait en apercevant mes seins, qui s’habillait de manière aussi gaie qu’une veuve sicilienne, et qui devenait écarlate de tremper ses dessous quand je la pelotais sans en avoir l’air, elle est où cette Magali-là, maintenant ? On dirait qu’elle a viré un peu chaudasse, l’experte-comptable !
Je ne réponds pas et enlace ma protégée, l’embrasse langoureusement, jouant avec sa langue, nous roulant dans les draps en riant, cherchant à lui embrasser les fesses qu’elle fait semblant de draper pudiquement dans la literie. Après avoir ainsi chahuté comme des collégiennes au pensionnat, nous nous étendons sur le dos, essoufflées de nos gamineries.
— Magali, tu te souviens quand tu m’as fait l’amour pour la première fois, hier ?
— Comment veux-tu que je l’oublie, ma petite bi ? Tu es la première femme que j’ai fait jouir. ...
... C’était absolument merveilleux, même si je manque un peu de pratique, je le sais bien. Mais j’espère que mon amour compense mes maladresses.
— Oh oui, tu as été d’une douceur et d’une incroyable sensualité, tu as su m’exciter progressivement par tes caresses plutôt audacieuses pour une débutante. J’en rêve encore, tu sais, tellement c’était délicat, doux. J’ai senti que tu écoutais mon corps, que tu voulais me conduire au plaisir comme j’en avais envie, j’ai senti ton amour, Magali.
— Que de compliments ! Venant de toi, cela me flatte, mais si tu continues j’ai peur de ne pas pouvoir résister à mes fantasmes, ma jolie. Bon, on se lève pour éviter tout dérapage ?
— Oh non, ma chérie, laisse tes fantasmes s’exprimer, tu sais qu’avec moi tu peux. J’adore tout ce que tu me fais, j’ai confiance en toi, aime-moi, Magali, s’il te plaît.
À peine ces mots prononcés, ma tendre beauté s’allonge sur le ventre, offrant à mon regard sa fine silhouette alanguie encore à demi protégée sous la soie de la nuisette. Comment résister à cette pure beauté, à cet appel au désir ? Je dois me contrôler pour ne pas me jeter sur elle. Le cœur battant, je me couche de tout mon long sur mon amante, mon corps brûlant de désir plaqué contre le sien et lui murmure des choses aussi tendres que crues.
— Je vais d’abord relever un peu ta nuisette, ma chérie, pour contempler ce que tu veux me cacher et dont je rêve. Je veux regarder tes cuisses musclées, les prendre à pleines mains, et remonter jusqu’à ta ...