1. Le plaisir comme thérapie


    Datte: 22/08/2025, Catégories: f, fh, ff, fplusag, voisins, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, fdanus, couplea3, lesbos, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... dans un couple, la preuve, je l’ai découverte à quarante-quatre ans ! Alors ne mélange pas le monde de l’amour et la violence bestiale, ma douce, tu vas t’y perdre.
    — C’est vrai que tu n’as pas eu l’air de souffrir, mais j’avais mal pour toi, si fragile, tes jolies fesses écartelées ainsi… Et, en même temps, j’étais fascinée, attirée…
    — J’avais remarqué, et ça me flatte venant de toi, jeune beauté perverse. Mais écoute-moi maintenant. Ton violeur, lui, il ne les a jamais regardées en amoureux, tes fesses parfaites. Il ne l’a même pas vu, ton cul de déesse. Il n’a pas rêvé de le peloter sous ta jupe, de l’embrasser, de le lécher, de suivre ton sillon fessier de la pointe de sa langue, de sentir frissonner ta peau la plus douce… Il n’a pas non plus fait exprès de jouer les essoufflés en courant derrière toi, juste pour voir remuer ta croupe de rêve moulée dans tes leggings de mannequin, en fantasmant tout ce que j’aimerais lui faire, en luttant contre la moiteur de son entrejambe. Lui, il a juste essayé de le forcer, bestialement, d’imposer sa force de mâle alpha sans cervelle, persuadé que le pouvoir était au bout de sa bite, et il a récidivé avec ta bouche, il t’a humiliée. Mais oublie-le, ce connard, il t’a fait mal, il a voulu abuser de ton cul (sans succès, je te le rappelle) et de ta bouche, mais c’est à ton âme qu’il a fait mal, cette ordure, et j’ai mal aussi, ma Séverine, parce que moi je t’aime, petite cochonne, et pas seulement pour ton adorable petit cul. Enfin, ...
    ... pas de bol, au lieu d’aller porter plainte, ce qui t’aurait libérée d’un poids bien trop lourd à porter pour toi toute seule, tu t’es laissé embarquer, enfermer, dans une relation exclusive par une cougar comme moi, qui a joué de ton corps et de tes sens et t’a monopolisée à son profit au lieu de t’aider à transgresser le traumatisme. Toute à ses fantasmes, elle l’a juste glissé sous le tapis en expédiant ce fumier, on ne sait trop où ni comment. Ça, c’était une connerie, ma belle, mais tu étais jeune, je sais. Maintenant tu as un peu de recul, tu es entourée de gens qui t’aiment, fais-leur confiance pour t’aider à reconstruire ce qui a été malmené, guide-les dans ce que tu attends d’eux, efface par l’amour, le vrai, ce spectre qui erre entre ton âme et ton corps et les empêche de s’accorder. Ta vie amoureuse commence maintenant, ma chérie, ne la gâche pas en y laissant de la place à qui ne le mérite pas.
    
    Long moment de silence, Séverine s’accroche à moi comme une moule à son rocher pour éviter d’être emportée par la tempête qui secoue ses esprits.
    
    — Personne ne m’a jamais dit tout ça, même pas Julien. Tu es merveilleuse, Magali, tu es parfois timide, mais là, tu t’es lâchée, et je t’assure que tu m’as fait du bien, tu sais lire en moi comme personne, tu es une bien délicate salope, ma voisine chérie !
    — Oh, Séverine, s’il te plaît, un peu de respect pour ton aînée !
    — Dis, Magali, tu es sérieuse quand tu me dis que tu me reluques le cul quand on court ? Il te plaît ...
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