1. Patricien sous le règne de César


    Datte: 19/08/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Divinmarkiz, Source: Hds

    ... pénétrer et lentement ses doigts disparurent un à un dans son orifice jusqu’à ce que la main menue s’enfonçât. Elle la retira au moment où Anjia allait jouir.
    
    -C’est à toi Caius de la prendre mais je connais ton envie. Attends un petit peu.
    
    Cette fois-ci ses doigts pénétrèrent son fondement avec difficulté, ils allaient et venaient de cette source à son anus jusqu’à ce qu’elle soit satisfaite.
    
    -A toi maintenant !
    
    Il approcha son gland, le fit pénétrer doucement tandis que la bouche de Gallia avait remplacé sa main. Il prit son temps pour faire pénétrer sa longue tige et attendit que la caresse de Fatilla amène la femme dont il était encore amoureux à l’orgasme avant d’avoir la sien comme l’auraient fait deux amants.
    
    -Merci Gallia, maitresse des maitresses.
    
    -Mais j’espère bien que tu vas être encore vaillant ce soir !
    
    Il sourit.
    
    -Je te laisse un moment avec elles ; je reviens vite.
    
    Gallia descendit dans la cave pour y retrouver les deux gardiennes.
    
    -Alors où en êtes-vous ?
    
    -Nous avons utiliser tout le gingembre, viens voir maitresse.
    
    Lorsqu’elle entra une torche à la main, elle s’approcha pour constater qu’une large tâche écarlate s’était diffusée autour de l’anus de Germa dont elle entendait les gémissements ininterrompus.
    
    -Tu ne veux toujours pas obéir ?
    
    Elle éructa dans sa langue, la mélangeant avec un sabir de latin ; aucun de ses mots n’exprimaient l’allégeance ou les excuses.
    
    -Écoute-moi bien, tu passeras la nuit ainsi. ...
    ... Demain c’est de ton sexe dont je m’occuperai et je recommencerai chaque jour jusqu’à ce que tu cèdes. Enlevez-lui l’olisbos et laissez là. Demain matin vous préparerez les piments.
    
    Gallia, femme de devoir partit rejoindre la chambre de Caius.
    
    Les deux esclaves se caressaient sous son regard qu’il leva lorsqu’elle pénétra.
    
    -La germaine ne t’obéit toujours pas ?
    
    -Ne t’en préoccupe pas Caius, occupons-nous de ton plaisir.
    
    -Et du tien j’espère !
    
    -Oui du mien aussi si tu m’y autorises. Avant elles vont toutes les deux te rendre vigoureux !
    
    Les deux langues s’emparèrent de ses attributs, léchant ses testicules, sa verge, s’aventurant jusqu’à son petit trou que Gallia les avait autorisées à caresser de leurs bouches. Gallia attendit qu’il ait les yeux clos pour observer son beau visage, son corps musclé, observer cet homme qu’elle respectait et vénérait sans avoir le goût d’aller plus loin. Elle chassa ces pensées pour aller caresser sa favorite.
    
    Plus tard ce soir-là les servantes s’étant retirées, elle resta un moment avec lui, sa tête posée au creux de son épaule avant de rejoindre sa chambre attenante au dortoir des esclaves.
    
    Levées avec le soleil, chacune s’apprêtait à remplir ses missions que Gallia distribuait chaque matin dans une organisation parfaite. Elle garda Fatilla auprès d’elle pour se rendre dans le cachot de Germa. Elle lui libéra les chevilles puis ouvrit le carcan.
    
    -Lève-toi !
    
    Incapable de se déplier après sa nuit passée à genoux, la ...
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