1. Patricien sous le règne de César


    Datte: 19/08/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Divinmarkiz, Source: Hds

    ... j’espère qu’elle aura compris.
    
    -Je l’espère aussi Caius.
    
    -Dis-moi donc pourquoi tu as choisi de partager la numide ce soir.
    
    Elle baissa les yeux et rougit.
    
    -Pas de secrets entre nous Gallia !
    
    -Je veux t’offrir ce que j’ai du mal à faire et je te remercie de ne pas m’y forcer.
    
    -Que veux-tu dire ?
    
    Elle s’approcha pour que les autres ne l’entendent pas.
    
    -Je pense que tu aimeras son odeur de fille.
    
    -La même que la tienne, celle dont je me souviens en tous cas ?
    
    -Oui, comme je te disais je ne l’ai pas touché depuis quatre jours mais chaque soir elle s’est caressée.
    
    -Comment pourrais-je me passer de toi ?
    
    -Tu es le meilleur des maitres, moi non plus je ne peux te quitter comme cette maison.
    
    -Je ne connais pas cette thrace !
    
    -Anjia a été très bien éduquée par sa maitresse précédente et elle a quelque chose que tu devrais beaucoup aimer !
    
    -Allons découvrir ce mystère ! Rejoins-moi avec tes protégées lorsque tu seras prête.
    
    Un vaste lit trônait dans sa chambre et lorsque les femmes y pénétrèrent, Caius attendit que les esclaves viennent le déshabiller sous le regard pointilleux de Gallia. Elles retirèrent leurs tuniques et vinrent ensuite retirer celle de Gallia. Le corps de la numide avec ses petits seins surmontés de larges aréoles couronnées de tétons proéminents lui était familier, alors qu’il découvrit celui de la thrace au buste menu mais aux larges hanches. D’un geste de Gallia qui indiquait que leur soirée avait été ...
    ... soigneusement préparée, Anjia vint caresser les testicules de son maitre tandis que sa bouche débuta une fellation experte. La favorite de Gallia l’enjamba sans faire d’autres gestes. Caius ouvrit ces lèvres noires pour découvrir des chairs roses et luisantes qui dégageaient un parfum puissant ; Gallia ne lui avait pas menti ! Il retrouvait ce soir dans sa mémoire olfactive cette odeur qui le hantait depuis si longtemps. Sa bouche s’en empara à la surprise de l’esclave peu habitué à ce qu’un maitre lui prodigue cette caresse. Il vit les doigts de Gallia glisser dans le sillon avant qu’un pénis de cuir vienne pénétrer l’anus de la numide ; il l’engouffra signe que Gallia devait souvent emprunter cette voie lors de leurs ébats. Prêt à exploser, il repoussa la bouche qui le dévorait et resta un moment à observer le va-et-vient imprimé par Gallia dans les fesses charnues avant de se retirer de ce spectacle.
    
    -Je reste là et je vous laisse jouer entre vous.
    
    Les trois femmes se lancèrent dans un ballet sexuel dont Gallia était la chorégraphe, elle qui connaissait si bien le plaisir de son maitre. Allongées en triangle, la favorite léchait Gallia tandis que la jeune thrace avait plongé sa langue entre les fesses de Fatilla. Les doigts de Gallia caressaient la chatte touffue d’Anjia avec des gestes précis.
    
    -Approche-toi Caius, regarde bien.
    
    Soudain s’écoula de la vulve un liquide blanchâtre et épais qui se répandait sur ses lèvres puis ses cuisses. Gallia le recueillait pour la ...
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