1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1558)


    Datte: 16/08/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... faire réprimander par cette perverse cuisinière. Lui aussi semblait distant, sans un sourire, sans même me regarder. Il restait à quatre pattes, le cul tendu, les cuisses écartées pour que Madame Marie puisse continuer à mater sa rondelle qu’il affichait sans la moindre pudeur.
    
    - Approche salope !, m’ordonnait Madame Marie.
    
    La sévère cuisinière m’attrapait par mon collier, bras tendu, détournant la tête avec écœurement, se pinçant le nez de son autre main pour me signifier son dégoût, et m’entrainait ainsi, en quadrupédie, jusqu’à dans une salle de douche. Là, elle me passait un bandeau sur les yeux, attachait à chacun de mes membres, des bracelets en cuir qu’elle arrimait à des cordes venant des parois latérales. J’étais ainsi maintenu debout main en croix, bras et jambes largement écartés, attaché aux chevilles et poignets. La cuisinière ôtait ma cage de chasteté. Un bruit de compresseur me faisait sursauter…. Très vite je comprenais… Un jet d’eau glacée venait frapper mes omoplates, mon cou, mes épaules… Monsieur le Marquis avait tenu parole, je me faisais laver au nettoyeur haute pression, ou plus exactement à la lance à incendie ! Je tentais de ne rien dire, mais m’agitais dans tous les sens pour tenter d’échapper à ce jet puissant. Peine perdue, les liens et la dextérité de cette vicieuse cuisinière m’empêchait de me dérober à cette eau glacée, puissante et cinglante. Je criais, hurlais, grelotais alors que Madame Marie s’activait sur mes fesses marquées, allant ...
    ... même jusqu’à laver mon anus avec cet appareil, ayant toutefois diminué la puissance du jet. Peu après, elle me contournait, et visait ma poitrine, mes tétons, mon abdomen, mes cuisses, mes pieds, puis ma nouille et mes couilles après avoir diminué, une nouvelle fois, la pression. Je ne me débattais plus, ne criait plus, j’étais vaincu mais paradoxalement, la nouille libre, je bandais comme un taureau, trahissant ainsi mon état d’excitation à cet avilissement total… Sauf qu’à cet instant où, cette satanée femme, avec un gant de toilette de crin, astiquait et savonnait mon gland méthodiquement et douloureusement, me faisant ainsi débander d’un seul coup, ma nouille devenant flasque, molle...
    
    - Ici, on sait calmer les chiennes en chaleur de ton espèce, ta nouille n’est désormais plus qu’une coquillette, petite salope…. Elle semble avoir perdu son arrogance… Tu ne ressembles plus à rien, la pute, avec ce ridicule et minuscule morceau de chair entre tes pattes… Et je ne parle même pas de tes couilles, deux minuscules noisettes !
    
    Madame Marie riait avec perversité, exprimant ainsi sa supériorité sadique, alors que moi j’hurlais encore, tant la pression sur mes testicules était douloureuse.
    
    - Calme-toi la putain, offre-moi tes ridicules boulettes…
    
    Ouf, elle me relâchait enfin…. Sauf que deux minutes plus tard, La perverse cuisinière me lançait un seau d’eau froide en pleine figure puis me détachait et me frictionnait énergiquement pour me sécher et sans ménagement. Peu ...
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