1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1558)


    Datte: 16/08/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1557) -
    
    Chapitre 22 : Outrages et punition ! -
    
    - … champagne à volonté !... mais celui de cette mixture est réservé exclusivement à cette bonne salope !, conclue-t-il, alors que je sentais couler le nectar à bulles entre mes entrailles…
    
    J’étais dans un bien triste état, le teint blême, les yeux défaits, avec des cernes profonds sur mon visage, dans cette voiture me ramenant au Château. Non, je n’étais pas juste un peu fatigué, mais plutôt très éreinté, alors je conduisais lentement avec Monsieur le Marquis à mes côtés. Je sentais la pisse, le foutre, avec encore en bouche ce goût omniprésent de ces sucs intimes avalés. Mon corps empoissé empestait, je puais le cul, le sexe ! Jamais, même dans mes fantasmes les plus fous, je n’avais imaginé une telle débauche, une telle avanie, un tel avilissement… Ces outrages, ces affronts, ces humiliations subis avaient été terribles, pourtant paradoxalement j’espérais qu’ils puissent se reproduire au plus vite ! Mes mâchoires longuement écartées me faisaient mal, mon ventre gargouillait, mon cul pénétré à maintes reprises et pour finir par être arrosé au champagne, était douloureux. Pourtant il me fallait crisper mon anus et mes sphincters au maximum, pour ne pas laisser échapper ces liquides introduits dans mon fondement.
    
    - Qu’est-ce que tu pues, Ma pute, il va falloir te passer au nettoyeur haute pression pour te ...
    ... laver correctement !, lâchait le Maître soudainement.
    
    Je ne répondais rien, ressentant seulement une nouvelle fois l’humiliation. Monsieur le Marquis insistait.
    
    - Pourtant ces fumets de chienne en chaleur te vont bien, ne trouves-tu pas, espèce de bâtard ?
    
    - Oui Maitre, vous avez parfaitement raison, Maitre.
    
    - J’ai apprécié te voir bouffer de la chatte, de la bite et du cul, tu deviens une belle salope, comme l’était ton père et ta mère. Eux aussi aimaient se répandre dans l’abject et la totale débauche. Les chiens ne font pas des chats… Tu ne peux que leur ressembler. Ta mère était une véritable putain docile, aimant se faire engrosser par tous les trous, ton père quant à lui prenait des bites de toutes tailles et sans broncher, bref ils avaient atteint la perfection de l’avilissement total.
    
    Pourquoi Monsieur le Marquis me parlait-il de mes parents ? Me faisait-il comprendre que je n’avais d’autres choix, compte tenu de mon patrimoine et héritage génétique, d’être cette salope ? Mes parents tous deux soumis, jadis, à l’extrême et devenus ainsi de véritables esclaves sexuels se complaisant dans les bas-fonds et les turpitudes de la soumission la plus absolue, de l’abnégation la plus parfaite, n’avaient pu qu’engendrer une chienne docile et servile, telle que moi ? Sans doute… C’était du moins ce que je ressentais profondément.
    
    - Dans trois cents mètres, tu tourneras à droite !, m’ordonnait une nouvelle fois le Maître.
    
    Je ralentissais puis empruntais un ...
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