1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1558)


    Datte: 16/08/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... calmement
    
    - Baisse ton froc à tes chevilles, sale chienne, pose ton abdomen sur le capot de la voiture… Je dois te punir pour que tu comprennes ce que je veux que tu sois, une véritable chose inférieure, corvéable et dépendante de Mes Volontés !
    
    Je tremblais de peur, de froid, de crainte d’être vu ainsi affiché en pleine nature. Le Châtelain revenait près de moi avec en main dans Son gant noir et protecteur, des branches d’orties fraichement coupées. D’un mouvement de poignet, il cinglait l’air avec feuilles souples et urticantes !
    
    - Décompte chaque coup et remercie-Moi à chaque fois que je cinglerai ton cul de salope, je veux te punir pour te faire grandir, petit bâtard, fils de putain et d’enculé ! A part le décompte et le remerciement, je ne veux entendre aucun autre un bruit, tu dois supporter en silence…
    
    Monsieur le Marquis se plaçait sur mon côté droit et tapotait mon fessier et le haut de mes cuisses avec ce martinet vert que Dame nature lui avait donnée. Je grimaçais, contractais mon cul, serrais les dents, me crispais.
    
    - Un… Maître, merci Maître
    
    La sensation était double, sous l’impact je ressentais une sévère douleur due à la compression de mes muscles fessiers et mélangée à une irritation urticante de la peau. Ensuite la douleur s’étendait sur une surface plus étendue. Le Maître le savait, vicieusement, il attendait trente à quarante-cinq secondes entre chaque coup porté afin de permettre la complète propagation de la douleur de l’impact ...
    ... précédent et laissait grandir la réaction cutanée irritante du contact des orties. A chaque fois, je le remerciais humblement, respectueusement en prenant conscience de mes manquements et de mes volontés à Lui obéir coûte que coûte. Je me retenais, avec beaucoup d’efforts, de gémir, d’hurler quand l’irritation des boutons générés par les orties était à son paroxysme, l’inflammation grandissante de mon fessier se développaient à vitesse grand V.
    
    - Vingt Maitre… Merci Maître !
    
    Je pleurais, tel un enfant, des sanglots incontrôlables, mes larmes roulaient sous mes joues, des pleurs de douleur avec une incompressible envie de me gratter les boutons urticants, alors que je devais rester totalement immobile, des larmes aussi de béatitude, de renoncement, de contentement… Tout était désordre, une nouvelle fois, dans mon cerveau. Ayant eu l’autorisation de bouger, je me vautrais à Ses nobles Pieds, lui offrant mon être tout entier, le remerciais encore, le vénérais, l’encensais, le considérais, l’estimais. Monsieur le Marquis d’Evans faisait de moi, ce que je devais être : Son esclave dévoué !
    
    - Est-ce que tu penses que cette punition t’a été utile, Mon chien ?, répond-Moi !
    
    - Oui Maître, j’en suis certain, répondais-je en me retenant de me gratter les fesses, ce qui était une véritable torture
    
    - C’est ce que nous allons vérifier de suite, relève-toi et va t’accroupir ici.
    
    Monsieur le Marquis me montrait un petit fossé près d’un arbre. J’y allais cette fois-ci sans hésiter, ...
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