1. Couchés dans le foin


    Datte: 11/08/2025, Catégories: fplusag, jeunes, grosseins, poilu(e)s, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Oral préservati, fsodo, occasion, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... couverts sur la longue table et vint s’asseoir à la place de son assiette, troussée jusqu’au nombril, exposant sa chatte poilue sous son nez :
    
    — Je t’offre le dessert. Mange-moi.
    
    Mis au défi, Gaétan ne pouvait plus reculer. Il était tombé sur une dévoreuse. Un succube déguisé en marchande bio. Mais la chatte velue et humide de la dame appelait irrésistiblement sa langue. Il l’insinua puis colla sa bouche et la dégusta.
    
    — Je peux fumer pendant que tu manges ?
    
    Caroline avait attrapé son paquet de cigarettes sur la table. Gaétan la vit en levant les yeux aspirer des bouffées, laissant parfois échapper un petit cri de plaisir quand il touchait un point particulièrement sensible. La main qui ne tenait pas la cigarette était collée sur son crâne comme pour le maintenir en activité buccale. Elle remuait spasmodiquement les hanches sur la table, signe qu’il lui faisait du bien. Puis elle poussa un vrai cri. Il l’avait fait jouir. Il se retira, le mufle trempé de son jus, pendant qu’elle écrasait sa cigarette :
    
    — Mmmhh, tu lèches drôlement bien. Je suis prête pour la suite. Montre-moi ta queue.
    
    Elle émit un soupir de satisfaction quand elle constata l’érection spectaculaire de Gaétan :
    
    — Tout ça pour moi ? J’espère que tu sais bien t’en servir.
    
    Elle lui mettait la pression, mais il la désirait tellement qu’il se promit de la défoncer. Elle le surprit encore quand elle lui dit :
    
    — On va aller dans la grange. J’adore baiser dans le foin.
    
    Elle s’échappa, ...
    ... revint avec un drap, désormais nue, les nichons en bataille, le prit par la main après l’avoir débarrassé de son bermuda et de son tee-shirt. Il la suivit sur l’échelle menant au grenier de la grange, admirant le balancement de sa croupe, si prometteur. Elle étala le drap sur le foin :
    
    — Tu ne trouves pas que ça sent bon ici ? lui dit-elle en s’allongeant, cuisses déjà ouvertes, pointes de seins dressées.
    
    Elle avait dénoué son catogan et ses cheveux grisonnants s’étalaient sur la couche. Elle était l’image même de la femelle en attente de sexe. Elle lui tendit le préservatif qu’elle avait gardé en main en même temps que le drap :
    
    — Mets ça, j’ai confiance, mais je préfère.
    
    Elle l’observa, la mine gourmande, en train d’enfiler le latex, et il la rejoignit dans un crissement de foin écrasé. Il la pénétra instantanément, jusqu’à la garde, et elle accompagna ses coups de boutoir de roulements de hanches, de griffures sur ses flancs et d’exclamations de plaisir. Pendant de longues minutes, veillant à ne pas gicler prématurément, il allait ramoner cette femelle dans diverses positions, la faisant jubiler dans l’odeur des foins coupés, se régalant de la houle de ses seins qu’il empaumait avec délectation. Qu’elles lui paraissaient fades, ses jeunes maîtresses d’avant, toutes épilées, en comparaison de cette quadragénaire en chaleur qui célébrait sa bite, ses couilles et son cul pendant qu’il la chahutait, comme elle le réclamait. Aucune d’entre elles ne lui avait jamais ...