1. Couchés dans le foin


    Datte: 11/08/2025, Catégories: fplusag, jeunes, grosseins, poilu(e)s, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Oral préservati, fsodo, occasion, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ‌Gaétan était en vacances chez sa sœur lorsque celle-ci l’envoya au marché faire quelques emplettes, en particulier des légumes bio. « Tu verras, la marchande est sympa », confia-t-elle à son frère.
    
    Lorsqu’il se trouva devant le stand, il découvrit une femme d’une quarantaine d’années aux cheveux déjà grisonnants tombant sur ses épaules, vêtue sommairement d’une robe légère décolletée en pointe sous laquelle évoluaient deux seins lourds en toute liberté. L’agitation de ce buste à chaque mouvement constitua d’emblée pour Gaétan un attrait érotique auquel il ne s’attendait pas. D’autant qu’en lui tournant brièvement le dos pour se pencher en avant, la marchande de légumes bio révéla des jambes nerveuses et la raie marquée de son fessier sous sa robe ajustée, ce qui permit à Gaétan de déduire que la dame était autant l’ennemie du slip que du soutif. Pour compléter l’ensemble, ses aisselles poilues confirmaient qu’on avait affaire à une femelle à l’aise dans son corps « au naturel », au pubis probablement dans le même état. Son visage rond, ses grands yeux noirs et son sourire avenant ne démentaient en rien l’impression initiale. Elle n’avait même pas ouvert la bouche que Gaétan était déjà sous le charme. Disons plutôt qu’il bandait.
    
    Lorsqu’elle lui demanda son choix, il bredouilla, en proie à un véritable trouble, ce qui fit sourire encore plus large la marchande de bio, comme si elle était habituée. Puis, il reprit peu à peu contenance et engagea la conversation, ...
    ... profitant de l’absence d’autres clients. Elle était intarissable sur son métier et voyant un interlocuteur intéressé, elle s’annonça sous le prénom de Caroline et finit par proposer à Gaétan de venir visiter son exploitation. Ce qu’il accepta illico pour l’après-midi même. Au moins, il aurait une occasion de ne pas s’ennuyer avec sa sœur, son beau-frère et leurs gosses.
    
    Lorsqu’il se présenta, Caroline était dans les champs et il la suivit dans ses activités, plus intéressé par les mouvements de son corps que par ses propos. Elle était vêtue d’un chapeau de paille, de sabots en plastique, d’un simple short qui découvrait ses cuisses musclées et bronzées et d’un tee-shirt épousant son buste et ses mamelons d’une manière provocante. Un peu plus loin, un ouvrier agricole se trouvait lui aussi à la tâche :
    
    — C’est Dimitri, mon employé croate, expliqua-t-elle en désignant le solide gaillard au crâne rasé qui répondit par un salut de la main.
    
    Elle invita ensuite Gaétan à se désaltérer dans sa ferme et se présenta, après s’être changée, avec sa robe du matin, ni plus ni moins. Toujours aussi décontractée.
    
    Elle commença par l’interroger sur sa vie. Jeune doctorant en sciences physiques, la matière intéressa la marchande de bio qui avoua avoir abandonné ses études scientifiques pour la culture de légumes depuis vingt ans. Apprenant qu’il était célibataire, elle lui avoua la même situation :
    
    — Une femme mariée ne peut pas exercer ce métier. C’est trop contraignant. Les hommes ...
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