Les malheurs de Clotilde Ch. 16
Datte: 28/07/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... sauront tout. Il y a des caméras cachées dans la chambre, avec des micros. Ils voient et entendent tout.
Je comprends pourquoi elle ne me dit rien, on est observées. Je me rends compte que cela veut dire, qu'avec le drap descendu en-dessous mes pieds, ils voient mon corps au travers des caméras.
- S'il-vous-plaît, remontez au moins le drap sur mon corps.
- Je ne peux pas faire cela, seul un médecin est autorisé à faire ça.
Je m'énerve :
- Vous ne servez pas à grand-chose!
- Non, j'ai des ordres strict. Si je ne fais pas ce qu'ils ordonnent, je serais punis. Maintenant taisez-vous ou je bipe l'américain. Il viendra énervé, croyez-moi, vous ne voulez pas le voir énervé...
En effet, j'ai suffisamment morflé pour savoir que l'on énerve pas nos bourreaux. Et a priori, l'américain, en est un. Pendant deux ou trois heures, je ne sais pas exactement, tant le temps passe longuement, nous restons silencieuse. Enfin, elle, car moi, je sanglote en repensant a tout ce que j'ai vécu depuis le concert...
Quand l'américain revient, il a l'air fatigué.
- Je viens d'opérer deux putains de l'organisation qu'il a fallu reconstruire analement et vaginalement. Elles n'étaient pas autant abîmées que toi, Clotilde, mais c'était quand même pas mal.
Il caresse la joue de Géraldine qui se fige.
- J'ai besoin divertissement, tu sais quoi faire ma belle.
- Oui, monsieur.
Si la belle rousse sourit au docteur, je vois dans son regard la peur, l'humiliation et le ...
... dégoût. Elle se lève.
- Quelle position, monsieur?
- Debout, appuyée sur les barres du lit. Celle du bas.
- Bien monsieur.
Je la vois se déshabiller, elle ne porte rien en dessous. Je suis étonnée de voir le tatouage sur son bas-ventre épilé. Le même éclair que moi, avec les deux « I » majuscules. Elle a un corps ferme de sportive. Ses seins, petit, on la taille de pommes bien rondes. Elle prend la position ordonnée. Demandant :
- Monsieur aurait-il l'obligeance de baiser la salope que je suis?
Elle dit cela avec un sourire semblant franc, alors que, pourtant, ses yeux disent « pitié, pas ça. ».
- Bien entendu, vu que cela te fais tant envie.
- Quel orifice monsieur? Mon trou-du-cul de putain ou ma chatte de salope? Je vous demande cela pour savoir à quelle hauteur je dois m'offrir.
- Ta chatte m'ira bien.
- D'accord monsieur, merci de me baiser par ce trou de chienne.
Le docteur sort un sexe bandé. La belle infirmière se redresse pour prendre la hauteur de son sexe, ce qui rendra la pénétration la plus facile pour l'américain. Il la saisit aux hanches, il la pénètre. Elle gémit. Si elle sourit, si son gémissement est de plaisir, je vois que tout est simulé. Ses yeux ne mentent pas, eux, ils disent toute la misère que la jeune femme ressent à se faire prendre par ce monstre.
Je détourne le regard, pour ne pas voir ce que je pense être un viol. Mais le docteur ne me laisse pas faire.
- Regarde-moi baiser cette salope. Cela te sera utile pour ...